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Dame de Cœur et Chevalier de PiqueAn 305, Lune 6, Semaine 2, Jour 3
Ulwyck
Uller
Ulwyck a toujours su qu’il lui faudrait prendre épouse pour continuer la lignée des Uller. Son frère, bien que plus âgé, n’a jamais fait preuve d’un réel intérêt pour le mariage et la vieillesse prend peu à peu ses droits sur son corps. Il est le seul espoir pour que sa famille survive et il s’est fait à l’idée. Il sait pertinemment quel genre de femme il souhaite : quelqu’un d’aussi loyal que lui à la famille, capable de douceur et de patience, là où il est fougueux et impulsif. Il faut quelque chose pour contrarier le sang des Uller, ou ses enfants feront partis des membres de la famille les plus dangereux.

Aussi, lorsqu’au fil de ses discussions avec l’Ambassadeur des Terres de l’Orage, ce dernier lui a proposé de courtiser sa sœur, il n’a pas réussi à refuser. Pas seulement à cause du joli minois de Jonas Caron – même si cela a joué plus qu’il ne l’avouerait – mais aussi grâce à tout l’amour que ce dernier porte à sa sœur et qui transpire dans chacun de ses mots à son égard.

Ulwyck a apprécié ce qu’il a vu et entendu. Il respecte Jonas pour souhaiter à sa sœur le meilleur parti qu’elle saurait aimer, et non pas le premier riche venu. Même s’il ne tire finalement rien de la jeune Shôren Caron, si jamais elle lui préfère un autre – ou s’il se rend compte qu’elle ne lui convient pas – il ne s’en offusquera pas. Au moins se sera-t-il lié avec son frère et peut-être qu’une alliance verra tout de même le jour, basé sur le respect et la confiance mutuels.

Aussi, c’est avec une certaine curiosité qu’il s’approche de la bibliothèque du Donjon Rouge, soit l’endroit où il est le plus susceptible de trouver la jeune dame. Il suffit de lui demander à une des personnes responsables de l’endroit pour obtenir sa position et il parcourt les rayonnages d’un pas vif, avant de trouver celle qu’il cherche.

Elle est jolie, comme les rumeurs le prétendent, peut-être même plus encore. Ne serait-elle pas noble qu’il l’aurait sans doute invité dans son lit ce soir, mais il a plus de distinction que cela. Il n’a pas spécialement envie de se prendre une gifle parce qu’il l’aurait outragé – et tous ses beaux efforts pour s’entendre avec son frère partiraient en fumée.

Non, un peu de plaisir ne vaut clairement le risque, pour cette fois.

Ulwyck toussote doucement pour attirer son attention, avant de s’incliner légèrement.

Bonjour, Dame Caron. Je suis Ser Ulwyck Uller. Puis-je prétendre à occuper un peu de votre temps ?

Il se redresse, cherchant quelques secondes le bon angle d’attaque pour expliquer les raisons de sa présence à ses côtés, avant d’ajouter :

J’ignore si votre frère vous a déjà fait part de mes intentions à votre égard. Je ne tiens pas à construire quoi que ce soit sur des mensonges et des non-dits, ni sans votre autorisation.

Lentement, pour ne pas l’effrayer, il se saisit de sa main pour y porter délicatement ses lèvres, indiquant silencieusement la raison de sa venue. Il n’est pas là uniquement parce qu’elle lui a tapé dans l’œil, mais parce qu’il aimerait construire quelque chose de solide avec elle. Peu importe que ce soit un mariage ou une amitié, au final ; les liens tissés ont toujours de l’importance.

J’aimerai vous courtiser, avec votre accord. Comprenez bien que je ne vous force à rien et que vous pourrez me demander à tout moment d’arrêter sans que je n’en tienne offense, comme vous pouvez décider de me côtoyer que pour tromper l’ennui. Il paraît que je suis d’agréable compagnie, une fois extirpé de mes obligations.

Un rire léger lui échappe, alors que son regard se perd sur les libres étalés devant la jeune femme. Voilà quelque chose des plus curieux ; s’intéresse-t-elle à un sujet en particulier ou cherche-t-elle à assouvir un besoin accru de connaissances ? Peut-être pourrait-il lui prêter quelques livres de sa région qui ne sont pas disponibles à Port-Réal, si les sujets abordés dedans l’intéressent.

Et peut-être pourrions-nous discuter de vos lectures, si vous me permettez de m’assoir à vos côtés.

Ses yeux pétillent, alors qu’il songe que Shôren Caron est une bien intéressante prétendante.
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— I try, try to follow your light, but it's night time. Please, don't leave me in the end, there's darkness in the distance. Oh, I love it and I hate it at the same time. You and I drink the poison from the same vine. Oh, I love it and I hate it at the same time, hidin' all of our sins from the daylight. From the daylight, runnin' from the daylight. |  @Ulwyck Uller

Shôren savait ce que tous attendaient d'elle. Qu'elle se marie, fonde une famille et fasse leur fierté. Plusieurs années en arrière, c'est ce qu'elle désirait, elle aussi. Car un quotidien comme celui-là lui aurait à coup sûr apporté calme et tranquillité, loin de la cour et de ses manigances, loin de la politique. Aujourd'hui, elle n'en était plus aussi sûre. Jonas était ambassadeur de l'Orage, elle était l'aînée de ses sœurs... Et même si elle savait qu'il suivrait ses désirs, il devrait la marier. Et elle n'était plus certaine d'en avoir réellement envie. Alors plutôt que d'affronter les responsabilités qui étaient les siennes, le jeune rossignol fuyait son frère dès qu'elle le croisait. Moins elle le voyait, moins elle avait de chance qu'il lui annonce avoir trouvé le parti parfait pour elle. Et dans un sens, même si elle souffrait de ne pas être proche de lui, c'était pour le mieux. Rhea lui aurait tapé sur les doigts si elle savait que sa fille faisait la forte tête, d'autant plus que ce n'était absolument pas dans ses habitudes, et la brune se rassurait en se disant que Jonas ne la trahirait pas en envoyant une missive à la matriarche Caron.

Avec tout ça, le seul endroit où elle se sentait bien et en sécurité dans ce château, c'était à la bibliothèque. Et elle avait tendance à s'y rendre bien plus que nécessaire en ce moment, ne trouvant la paix qu'au milieu des livres. Le silence et le calme la rassuraient - pendant quelques instants, elle avait l'impression de se retrouver à Séréna, dans son havre de paix. Mais sa conscience ne parvenait jamais réellement à oublier où elle était, et surtout avec qui. La fosse aux vipères ne lui plaisait guère, et malgré la tranquillité du lieu, elle n'oubliait pas. Ni ce qu'il s'était passé ici, ni les traumatismes qui y étaient liés.

Lire lui permettait au moins de se concentrer sur autre chose que sur l'ambiance lourde qui régnait au Donjon Rouge. Tournant les pages en lisant avec attention l'histoire du monde avant l'arrivée des Targaryen, elle ne remarqua pas la légère agitation qui venait de s'abattre sur la bibliothèque. Les chuchotements furent légèrement plus forts - jamais assez pour la déconcentrer cependant - et elle les ignora. Jusqu'à entendre quelqu'un toussoter à côté d'elle. Le sursaut ne se fit pas attendre. Prise par surprise, Shôren se redressa vivement et tourna la tête si vite qu'elle aurait pu se rompre le cou. Frissonnant d'angoisse, sa vision se fit floue une seconde alors qu'elle croyait voir un homme de la Foi Militante. Puis elle reconnut le Maître des Lois du conseil restreint et se détendit légèrement avant de froncer ses sourcils. Que lui voulait-il ? Elle l'observa s'incliner et haussa un sourcil d'incompréhension avant de se tourner totalement vers lui. « Je sais qui vous êtes, Ser Ulwyck. » répondit-elle d'un ton calme avant de se lever soudainement, ne voulant pas se montrer impolie devant un membre du conseil du roi. Elle s'inclina à son tour et hocha la tête. « Faites donc. »

La curiosité la poussa à l'observer durant quelques secondes alors qu'elle se demandait bien pourquoi il la cherchait elle en particulier. Était-il arrivé quelque chose à Jonas ? La jeune femme s'alarma immédiatement avant que le chevalier n'interrompe ses pensées chaotiques en justifiant sa venue. Elle cligna des yeux, n'étant pas certaine de comprendre ce qu'il voulait dire, jusqu'à ce qu'il se saisisse délicatement de sa main pour la porter à ses lèvres. Et elle comprit immédiatement. Shôren était loin d'être sotte, mais elle n'était pas sûre d'apprécier la manière dont les choses se déroulaient. Pourquoi Jonas ne lui avait-il rien dit ? Puis elle réalisa qu'elle ne lui avait même pas laissé l'occasion de lui parler ces derniers temps. Si elle était dans l'ignorance, elle ne pouvait s'en prendre qu'à elle-même. Un rouge prit place sur ses joues alors qu'elle détournait le regard quelques secondes, n'ayant pas l'habitude d'être abordée de manière si directe.

Le silence s'éternisa alors qu'elle ne pipait mot, et il présenta clairement ses intentions à son égard. Elle finit par réussir à lui sourire légèrement lorsqu'il tenta de détendre l'atmosphère avec un trait d'humour. Puis lorsqu'il porta son attention sur les livres disposés sur la table, l'attitude de la jeune femme se détendit immédiatement. La lecture était son passe-temps favori, et l'idée d'en parler avec quelqu'un ne lui déplaisait pas. « Avec plaisir. » finit-elle par répondre en lui offrant un nouveau sourire, plus sincère que le premier.

La jeune femme finit par s'asseoir à nouveau après lui avoir désigné un fauteuil près d'elle. Elle poussa légèrement vers lui le livre qu'elle lisait après avoir mémorisé la page. Le silence se réinstalla, un peu plus confortable que précédemment, et elle prit le temps de réfléchir une seconde avant de soupirer. « Je ne pense pas être contre un quelconque rapprochement, surtout s'il est voulu par mon frère. » Son sourire s'estompa légèrement néanmoins. « Je ne sais pas ce qu'il vous a dit à propos de moi, j'ose espérer ne pas avoir fait une trop mauvaise première impression. J'en suis désolée si c'est le cas. » ajouta-t-elle avant de reporter son regard sur le livre qu'elle avait poussé vers lui. « C'est ma lecture actuelle. La connaissez-vous ? » Le changement de sujet n'était pas discret, mais Shôren était mal à l'aise à l'idée d'avoir fait honte à son frère à cause de son silence. Alors parler des livres lui donnait du réconfort et elle préférait ça à une discussion étrange sur le fait qu'il allait la courtiser.


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Dame de Cœur et Chevalier de PiqueAn 305, Lune 6, Semaine 2, Jour 3
Ulwyck
Uller
Si ses petites nièces ou Ellaria ont toujours évoqué à Ulwyck des serpents prêts à frapper, la jeune femme en face de lui évoque plutôt une biche, ou un oiseau, prêt à s’enfuir s’il se montre trop grossier. Peut-être s’est-il un peu avancé, finalement, en songeant que son expérience avec les femmes de sa famille aiderait ; elles n’ont que peu de choses en commun avec la demoiselle à ses côtés.

Il oublie parfois que le reste de Westeros traite ses femmes si différemment qu’à Dorne.

Sur son invitation, il s’assoit à ses côtés, veillant à ne pas agir avec trop d’assurance dans ses gestes. Il n’est pas ici en terrain conquis, avec une jeune femme qui connaît la réputation qui le précède et ne s’en effraie pas, qui cherche même à s’en assurer.

Il est avec quelqu’un qui deviendra peut-être sa promise si les Dieux le souhaitent, ou tout du moins une amie avec qui converser gaiement.

Un sourire doux lui échappe alors que Shôren s’inquiète de ce que son frère a pu dire d’elle et ce qu’il en a conclu en la voyant.

Lord Caron n’a fait que des compliments sur vous. C’est ce que font les bons frères, madame, la rassure-t-il.

Ses yeux errent quelques instants sur les livres étalés sur la table, reconnaissant au passage l’un des livres préférés d’Ellaria. Son cœur se pince et un soupir lui échappe, alors que son sourire se teinte de peine.

Nous sommes souvent aveugles aux défauts de nos sœurs, ou nous préférons les mettre sous le tapis.

Ulwyck est bien placé pour le savoir. Il a préféré fermer les yeux sur les actes d’Ellaria qu’il aurait pourtant condamnés venant de n’importe qui d’autres. Il a préféré se tenir à ses côtés jusqu’à la toute fin, alors même qu’il savait que la folie familiale s’était emparée d’elle et qu’il aurait été plus charitable de mettre fin à ses souffrances.

Parfois, Ulwyck en veut à Oberyn d’avoir tant souhaité la vérité sur la mort de sa sœur qu’il en a perdu la vie et a condamné Ellaria au désespoir et à sa vengeance. Et leurs filles ont suivi ; le Maître des Lois regrette parfois de ne pas pouvoir toutes les raisonner.

Le prix de la vengeance ne devrait pas être leurs morts. Elles sont encore si jeunes, elles ont encore tant à vivre et à découvrir ! D’autant qu’elles ne seront jamais plongées dans la misère ; il a juré à leurs parents qu’il veillerait sur elles jusqu’à son dernier souffle et il refuse de rompre encore un serment. Elles font parties de la maison Uller, peu importe leur statue de bâtarde.

Et pourquoi m’auriez-vous fait mauvaise impression ? Je vous ai semble-t-il prise au dépourvu, je serai bien mal avisé de vous en tenir rigueur.

Le Maître des Lois offre un sourire franc à Shôren. Il n’est pas du genre à s’offusquer de si peu ; il est impulsif, certes, il est loin de le nier, mais pas au point de prendre la mouche parce qu’une jolie dame ne tombe pas en pâmoison devant lui.

Il se saisit ainsi du livre qu’elle a poussé vers lui et lit le titre d’un rapide coup d’œil, avant de soupirer. Non, le nom ne lui dit absolument rien ; soit il n’était pas à la bibliothèque à Lancehélion, soit il n’a jamais attiré son regard lorsqu’il avait encore le temps de lire.

Je ne crois pas avoir ce plaisir. J’ai eu peu de temps pour lire, ces derniers mois. Mais j’ai un écuyer qui devrait encore s’y entraîner, auriez-vous un livre à me conseiller pour le faire s’exercer ?

Zandren a passé plus de temps dans son enfance à trouver des moyens d’éviter ses leçons plutôt que d’y assister. Parfois, Ulwyck regrette d’avoir cédé à sa tante et de l’avoir pris sous son aile, tant le travail à faire était et est encore titanesque pour faire de lui un homme de bien. Puis, parfois, de plus en plus souvent désormais, son cousin fait sa fierté.

Alors, même s’il doit raccourcir ses nuits pour sortir son écuyer de l’ignorance, il le fera. Zan lui a prouvé qu’il méritait qu’Ulwyck s’acharne sur son cas, pourtant désespéré ou presque lorsqu’il l’a accueilli auprès de lui.

De la poésie, peut-être, pour lui mettre deux sous de délicatesse dans le crâne. Ou un roman d’aventure. Si je lui mets un livre d’étiquette entre les mains, je vais en entendre parler pendant des jours.

Ulwyck esquisse un sourire, essayant de détendre l’atmosphère avec un peu d’humour. Il sent la demoiselle encore un peu tendue, peut-être mal à l’aise en sa présence, ou effrayée à l’idée de lui avoir fait mauvaise impression.

Ou peut-être est-elle simplement terrifiée parce qu’il est un homme de Dorne et elle des Terres de l’Orage. Il serait le dernier à lui reprocher sa méfiance, vu les conflits entre leurs régions depuis des siècles, mais il aimerait pouvoir lui assurer qu’il ne lui fera pas de mal pour qu’elle puisse se détendre.

Quels sont vos livres préférés ?

Peut-être que continuer à parler d’un sujet qu’elle semble apprécier lui permettra de se libérer de sa tension.
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