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[FB] Laisse, laisse, ta beauté m'enivre ❅ pv Mayra Storm

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fb | an 305 - lune 7 - semaine 3 - jour 6 ❅ Port-Réal

[FB] Laisse, laisse, ta beauté m'enivre ❅ pv Mayra Storm Fe90ffc7bbb1adfd2416025cbcdb07cd
De soie jaune te vêtirai toute,
Et te ceindrai d'une couronne.
Car seras ma dame d'amour,
Et serai ton sire
L.a.i.s.s.e,.L.a.i.s.s.e
ta beauté m'enivre
Le tournoi du Donjon Rouge était une aubaine pour toutes les catins de cette ville. Pas qu’elles se soucient qu’un nobliau parfumé les troussent, ou qu’elles aient la chance de passer une nuit avec le grand gagnant des joutes – oh, ça, elles s’en fichaient bien. Aerera la première. Le tournoi, dont la date approchait, amenait avec lui des hordes de clients : en plus des riches hommes, suivaient leurs riches écuyers, leurs riches pages et tous leurs riches amis. Ce matin-là, le bordel de Chataya s’était animé quand un petit homme, à peine pubère, était entré armé d’une missive. Il l’avait brandie sous le nez de la patronne, et celle-ci avait déroulé une véritable liste de courses.

Les putains avaient été rangées comme les soldats prêts à partir à la guerre. La lysienne regardait autour d’elle d’un œil critique, les autres étaient belles, oh ça oui – les reines et autres pétasses qui peuplaient le Donjon Rouge pouvaient bien se rhabiller face aux filles du bordel. Mais autant qu’elle ? Aerera en doutait. Chataya, patronne fière, avait pris ce jour des allures militaires. Elle tournait comme un fauve devant ses pensionnaires en dardant sur elles un œil inquisiteur.

Elle fit signe à une fille de reculer. Puis à une autre. Il n’en resta bientôt que trois, et l’Estivienne marmonnait incessamment.

Exotique… Belle… Jeune… Altière…

Aerera écrasa un bâillement las. Chataya s’immobilisa. Elle chassa l’une des courtisanes, ne restèrent bientôt plus que la lysienne et Alayaya, qui était non seulement sa fille mais aussi l’une de ses meilleures pensionnaires. La Tigresse sentit celle-ci la regarder mais ne prit pas la peine d’y répondre. De son air désintéressé, elle fixait le vide en direction de sa patronne.

Aerera. Tu iras.

La lysienne hocha la tête. Les filles se dispersèrent et Aerera voulut en faire de même, elle fut rattrapée par la poigne de Chataya autour de son bras. Celle-ci lui glissa à l’oreille.

Bonne nouvelle pour toi, tu vas pouvoir être naturelle. Le client a expressément demandé à être, hm – piétiné.

Aerera hocha brièvement la tête et se dégagea de la main de sa patronne pour aller se préparer. Un riche cul à mater, voilà qui allait être passionnant. Et cher, surtout.


❅❅❅


Le Donjon Rouge – ses yeux s’allumèrent dès qu’elle en franchit les portes, d’un émerveillement sincère qui s’évapora presque aussitôt. Le page de ce matin était revenu la chercher pour l’amener vers son maître, et il avait fait franchir les sacro-saintes porte à la putain pour la première fois depuis son arrivée à Port-Réal. Et quelle déception. Les noms de ses anciens pigeons passèrent dans son esprit – Gahzzaq, Raqqo, Vaemar… Pas ser Dalt, dont elle avait oublié le prénom et qui était désespérément pauvre – mais les autres étaient fortunés, et finalement plus encore que ce pseudo palais royal. Une profonde amertume passa dans son regard mais son visage resta de glace.

Le page lui ordonna d’attendre devant une porte tandis que lui s’y engouffrait. Seule dans le couloir, Aerera regarda pensivement autour d’elle. Elle s’approcha d’un buffet où était posé un vase. Elle le prit d’un geste intéressé et l’observa en détail. Aucune pierre pour le sertir, pas de riches parures, ce n’était qu’un pauvre vase. Elle leva les yeux vers le mur. Une peinture représentait une scène de chasse. Ses sourcils se haussèrent.

Affreux, siffla-t-elle dans sa langue natale.

Elle n’était toujours pas habituée à la Langue Commune, si elle la parlait relativement bien, quoique percée d’un fort accent lysien, sa langue déroulait toujours naturellement son dialecte. Se ferait-elle un jour à n’être qu’une putain ? Certainement pas. Elle était plus. Bien plus. Perdue dans ses pensées introversives, elle ne fit même pas attention aux pas derrière elle.

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L'Amaryllis Pourpre

*Un geste délicat, et voilà que le pourpre de mes yeux se retrouvent soulignés magnifiquement, attirant le regard de tous ceux qui croiseraient mon chemin. Mes lippes s’étirent en un sourire en observant mon reflet dans le miroir. Mes cheveux sont parfaitement dompté mais serons bientôt dans un désordre sensuel, se collant à ma peau et à mes lèvres peintes d’un rouge léger. Je passe un doigt sur mes lèvres, avec un soupir de satisfaction. Par tous les Dieux, que j’aimais cette sensation ! Celle de sentir le piège se refermer sur une proie, de la voir se tordre de désir et de plaisir entre mes doigts, celle d’un pouvoir absolu sur le corps d’autrui. J’avais l’impression d’égaler les Dieux, d’avoir le droit de vie ou de mort sur autrui, et c’était terriblement gratifiant.

Je me relève et jette un regard au mot posé sur ma coiffeuse. Lord Inno Dynohr était un noble d’Essors, récemment arrivé au palais pour quelques négociations marchandes. A la tête d’une riche compagnie d’épices et d’alcool, il s’en venait pour proposer ses produits et avait reçu un bon accueil. Evidemment, je n’avais pas pu manqué la petite sauterie pour accueillir le cortège, et mon petit jeu de séduction avait fait effet, manifestement. En réalité, je n’en doutais absolument pas. Après une bonne dizaine d’années de pratique, j’étais désormais une experte de ce petit jeu. Quelques regards, des sourires, jouer sur la jalousie et l’égo des hommes, sur les faiblesses des femmes, trouver la faille, montrer suffisamment de peau pour fasciner mais assez peu pour qu’on en rêve et fantasme tout le reste du corps…

Oui, ce jeu était le mien, et j’y étais terriblement douée.

Dans ma jolie robe blanche, particulièrement simple à retirer, j’avance à pas de chat, en suivant l’homme qui est venu me chercher à l’heure promise par Lord Dynohr. Ms hanches ondulent sous le tissu et même les gardes ont bien du mal à rester concentré à leur tâches en me voyant passer. C’est parfait, c’est incroyable, j’adore cette sensation. Celle d’être admirée et adorée, regardée comme une déesse vivante. Heureusement que mon frère ne pouvait pas entendre mes pensées, il m’enverrait suivre notre soeur au budget. Mais qu’y pouvais-je si toute cette exaltation me donnait la sensation de plein pouvoir ? Pendant l’espace d’un instant, j’avais le monde à mes pieds. C’était ce pour quoi j’étais faite, après tout. Avant de perdre l’esprit, il y a fort longtemps maintenant, c’était ce que notre père m’avait promis.

Enfin, aujourd’hui, c’est à la lettre de son fils aîné que je répondais. Me rapprocher du cortège venu d’Essos pourrait permettre à ma famille d’obtenir quelque marchés fort agréable et utile pour toute la famille Grandison, sans parler du simple fait de se faire toujours plus d’allié, comme par simple sécurité. Et puis, en réalité, cette mission me plaisait aussi. Alors que mes pas raisonnait dans le couloir, j’en venais à me demander si je pourrais tirer mon épingle du jeu grâce à ce Lord, mais une petite moue et un soupire m’échappe. Essos était loin de ce que je connaissais, de mes amis et ma famille… Le climat y était réputé moins agréable qu’à Westeros, quoi que je me plaisais bien dans les régions chaudes. Inno Dynorh avait suffisamment de quoi me faire vivre confortablement pour le reste de ma vie, mais je n’avais pas d’autres personnes dans ma poche là bas, et je n’étais pas du genre à mettre tous mes oeufs dans le même panier.

Ce soir ne serait donc qu’une mission éphémère, ce qui ne me dérangeait pas non plus. J’en avais l’habitude, et puis, je retrouvais depuis peu enfin cette sensation de la chasse qui m’avait manqué pendant ces ennuyantes années à Grandison. Enfin, presque toujours ennuyante. Un sourire se dessine à nouveau sur mes lèvres en pensant aux boucles rousses entre mes doigts et à l’idée de voir mon grand frère en furie à l’idée que je lui vole sa femme. Ah oui, ça, c’était un secret amusant qui me plaisait bien ! Si seulement toute mes années là bas avait pu être aussi distrayante que ces quelques nuits torrides, je ne me serais pas ennuyé un instant.

Mais voici venir la fin de toutes ces réflexions transparaissaient sur mon visage au rythme de mes pas, et mes traits deviennent de nouveau celle de la chasseresse, prête à arracher des cris de plaisir à cet homme que je n’avais guère vu qu’une soirée il y a de cela deux jours. Le garde m’invite à me diriger au fond du couloir devant nous et je lui offre un sourire charmeur qui, je le vois dans ses yeux le trouble. Il me suivrait bien volontiers pour me jeter sur un lit, mais il le savait bien, je n’étais pas le genre de femme que pouvait avoir un garde. Il se contenterait de penser à moi en culbutant des prostituées de bas étages.

J’entre donc finalement, dans ce long couloir, avance en suivant les instructions que l’on m’avait donné, d’un pas aussi léger et délicat que celui d’une grande dame. Après tout, je n’étais pas une simple prostituée. Ce n’était pas seulement mon corps qu’on louait, mais bien ma compagnie, mes talents pour la danse en plus de ceux dans un lit (ou partout ailleurs). Seulement, voilà une chose que je n’avais pas anticipé. Devant moi, ne se souciant même pas de mon arrivée, se trouvait une jeune femme que j’avais déjà aperçu quelques fois. Une simple prostituée. Oh, pas n’importe laquelle, non. Mais ce n’était pas une femme dont on payait la compagnie. Elle avait la réputation d’être aussi belle que capricieuse. Cela dit, j’avais la réputation d’inviter au creux de l’alcôve homme comme femme, et je savais fort bien que cela en intriguait plus d’un. Mieux valait une belle femme comme elle qu’une simple servante, au moins, elle saurait sûrement y faire, elle aussi.*

« Aerera, comme on se retrouve. »

*Affirmais-je en ignorant ce qu’elle avait pu lancer avec une voix si empli de mépris. Cela dit, la décoration de cette partie du château n’était pas royale, je ne pouvais guère que comprendre sa déception. Mais le sire en question valait le coup. Je lui souris, d’un air entendu. Elle ne se souvenait probablement pas de mon prénom, mais c’était une capacité que j’avais entraîné pour ne jamais oublier un nom. Cela me faisait systématiquement gagner des points, et puisque j’avais une bonne mémoire, autant en user, n’est-ce pas.*

« Je suis Mayra, tu ne te souviens sûrement pas de mon nom. »

*En réalité, les rares fois où nous nous étions croisé n’étaient guère propice à l’échange de mondanité et de nos prénoms… Et je doutais que la suite de la soirée ne le soit plus.*



   
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De soie jaune te vêtirai toute,
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Dans ce couloir vide, Aerera entendit une voix – pire, son nom. Quelqu’un l’avait reconnue. Elle qui aimait tant les gens, quel plaisir… Elle reposa le vase hideux et se retourna lentement. Sa robe de soie, d’un rouge vif, épousait ses formes, seulement nouée dans la nuque – en seuls ornements, une ceinture de métal enserrait sa taille et des bracelets de bras tombaient en une pluie de chaînes jusqu’à ses poignets. La Tigresse de Lys dénotait parmi les filles de Chataya, car en plus d’un accent qu’elle ne cherchait pas à atténuer et qui la rendait exotique, elle se faisait constamment désirer et exhibait le fruit de son labeur à la vue de tous. Quoi de mieux que la jalousie pour rendre un homme fou ?

Les hommes fous faisaient de nombreux cadeaux. Le passé le lui avait prouvé.

Aerera dévisagea la jeune femme qui venait d’arriver, son visage comme toujours fermé. Intérieurement, elle tenta un instant d’analyser ce que l’autre venait de lui dire. Sa voix était-elle pleine de mépris, ou était-elle contente de la revoir ? Peu importait, au final, la Lysienne ne se souvenait pas d’elle et s’en fichait, d’elle et de ses émotions. De toute façon, elle ne comprenait rien aux ressentis des autres. Elle resta muette jusqu’à ce que l’autre, trop souriante, se présente.

Non, je ne m’en souviens pas, répondit-elle franchement.

Elle la fixa longtemps, silencieuse.

On s’est déjà rencontrées ?

Aerera leva un sourcil, puis s’approcha de deux pas pour mieux observer son interlocutrice. Elle lui revint enfin, et la Tigresse hocha la tête.

Mais oui, Maria, tu es la bâtarde de lord… Elle ne prit même pas la peine de réfléchir. Je-ne-sais quel noble orageux.

Elle ne prit pas garde à sa faute sur le mot « orageois ». Sa connaissance de la Langue Commune était très relative, en réalité, car Aerera n’avait jamais pris la peine d’apprendre réellement le dialecte de Westeros. Elle savait le parler mais faisait encore nombre d’erreurs, en plus d’avoir une diction extrêmement teintée de l’accent de Lys. Ce n’était pas par bêtise qu’elle n’avait pas réussi à apprendre, Aerera se savait ne pas être la personne la plus stupide ni la plus intelligente qui soit – mais elle était fainéante et ne prenait jamais la peine de quoi que ce soit qui l’ennuie.

Pour meubler un tant soit peu le silence, elle reprit d’un soupir, sa voix comme toujours teintée de sa constante monocorde :

Et tu es toujours une putain, visiblement, toi aussi.

Elle leva sur elle un regard las, vide d’expression. Toute souriante pouvait être Maria, cela n’avait rien de contagieux pour la Lysienne, qui se drapait de sa permanente insensibilité.

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L'Amaryllis Pourpre

*Hé bien, en voilà une dont on ne payait pas la compagnie. En la voyant avec son petit air suffisant détestable, un sourire léger s’affiche à mes lèvres. Voilà donc la différence entre une putain et une courtisane. Là où les putains n’avaient guère qu’à user de leur corps et de leur physique plus ou moins affriolant, la courtisane n’était pas qu’un corps. Je jouissais d’une éducation complète : histoire, politique, grandes maisons de Westeros, littérature, musique… Mon éducation était complète.

Voilà pourquoi je la laisse me mépriser et presque m’insulter, sans réagir, un léger sourire aux lèvres, légèrement condescendant il fallait l’admettre.*

« Mayra. De la famille Grandison, des orageois. »

*La corrigeais-je sans beaucoup plus de délicatesse qu’elle. Cela dit, j’avais suffisamment confiance en moi pour que ses mots ne m’atteignent pas. Et puis, de toute façon, c’était la vérité. J’étais une batarde. Je n’en avais pas vraiment honte, je laissais la honte aux nobles dames qui n’avaient que leurs honneurs pour elles. Moi, j’étais tellement plus riche que de dignité, comme ces dames, ou juste la beauté, comme la femme devant moi. Non, moi, en plus d’être belle, j’étais maligne, travailleuse, réfléchie, bien élevée et capable de prouesse physique, et je ne parlais pas seulement de danse.

Dans le silence qui s’installe, la jeune femme finit par reprendre la parole, et cette fois, je ne peux retenir un léger rire un peu hautain. Je tousse pour me reprendre avant de soupirer.*

« Non, ma chère. Je suis une courtisane, pas une putain. Mais je ne t’en veux pas, si tu ne comprends pas la différence, tout le monde n’est pas doté de la même subtilité. »

*C’était clairement une belle petite insulte sur son intellect. Mais hé, si elle était intelligente, elle userait de ses charmes pour devenir plus qu’une simple putain, justement. Avec son apparence, il était certain qu’elle pourrait aller bien loin, et une fois sa place sécurisée, là, elle pourrait faire caprice sur caprice sans soucis. C’était bien là la preuve que je n’avais rien à envier à cette femme et, même si nous étions là ce soir pour les mêmes raisons, ce ne serait pas avec elle qu’un homme voudrait passer du temps en dehors de la couche… Oh non, vraiment pas. Elle était bien trop insupportable pour ça.*



   
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