AS Chants & Poésies

Explications
Ce sujet est totalement participatif ! Si vous avez des chants et des poésies, que vos personnages ont fait ou qui sont tirés de l'univers et que nous avons oublié de mettre, contactez Le Multiface par MP avec les paroles et le lien youtube s'il y en a un.

5 Honneurs sont offerts à chaque MP envoyé avec un chant ou une poésie !

Les paroles

« "Et qui êtes-vous, dit le fier seigneur,
Pour que je doive m'incliner si bas ?
Rien qu'un chat d'une autre fourrure,
Et voilà ma vérité vraie.
Fourré d'or ou fourré de rouge,
Un lion, messire, a toujours des griffes,
Et les miennes sont aussi longues et acérées
Qu'acérées et longues les vôtres."
Ainsi parla, parla ainsi,
Le sire de Castamere,
Mais les pluies pleurent en sa tanière,
Et plus personne ne l'entend.
Oui, les pluies pleurent en sa tanière,
Et nulle âme ne l'entend plus. »

Pour l'écouter

C'est ici !

Les paroles

« High in the halls of the kings who are gone,
Jenny would dance with her ghosts
The one she had lost and the one she had found
The one who had loved her the most
The ones who’d been gone for so very long
She could’nt remember their names
They spun her around on the damp old stones
Spun away of her sorrow and pain
And she never wanted to leave (x4)
They dance through the day and into the night
Through the snow that swept through the hall
From winter to summer then winter again
Til the walls did crumble and fall
And she never wanted to leave (x4)
High in the halls of the kings who are gone,
Jenny would dance with her ghosts
The one she had lost and the one she had found
The one who had loved her the most »

Pour l'écouter

C'est ici !

Les paroles

« À la croisée des chemins
Passait un grand homme
C’est sûr c’était pas un nain
Presq’sept pieds de haut et de grandes mains

L’était bien grand, l’étais pas frais
Comme un bateau sur l’eau, ah m’sieur il tanguait
Il sortait d’une taverne, celle de Shorei
Pour sûr ! C’gars-là, bien bu il avait !

Quand soudain, un ours, un ours !
Sortit des bois voisins
Il avait soif ou faim ? Grande bouche !
Il terrorisa les gens, mais pas l’sac à vin, qui se fit plus grand.

« Ours ! », cria-t-il
« Retourne dans tes bois,
T’es un bel imbécile
De me déranger moi ! »

La bête se tourna vers le minus
Lui gronda après et courut à sa suite

Mais le saoulard ne prit pas la fuite
Sacré gaillard, il avait peur de rien !
Son immense épée à deux mains il sortit
Fonça sur la bête beuglant des mots fleuris

Et à l’ours il trancha l’oreille
Lui creva un œil et lui pissa dessus
Y paraît qu’la bête lui prit un orteil
Et la queue ent’ les jambes retourna aux feuillus

Le grand homme, qu’avait décuvé
Se vit offrir plein de filles à marier
Il était très brave, et pas trop mal fait
Pis, disait-on, c’t’était un bien né !

Mais ce jour il refusa tout
N’épousa qu’un nouveau godet
Très vite il redevint soul
Il était pas un héros, ni un tueur de bête
Tout ce qu’il voulait, c’était faire la fête !

On l’nomme aujourd’hui encore
Brynden l’ours ! L’ours du Trident !
On l’nomme aujourd’hui encore
Brynden l’ours ! L’ours du Trident ! »

Pour l'écouter

C'est ici ! (instru seulement)

Les paroles

« C’est une vraie légende
Celle dont on chante les louanges
Elle est à moitié déesse
À moitié tenancière

Elle a une belle taverne
Des choppes en or, de l’hydromel
Elle ravit tous les gosiers
Du Mur à Culpucier

Elle est ma muse, mon idéal
Elle me donne la dalle
Avec elle tout est utopique
Qu’il est beau l’cul d’la taverniste !

Elle a des cheveux d’or
Et sait lancer des sorts
Tout homme est déconcerté
Même avant de s’être saoulé

Tout le monde lui fait la cour
Pour s’offrir sa chair
Mais elle chasse les vautours
Et ressert donc une bière

Elle est ma muse, mon idéal
Elle me donne la dalle
Avec elle tout est utopique
Qu’il est beau l’cul d’la taverniste !

Insensible aux on-dit
‘Paraît qu’elle est bonne au lit
Une femme bonne à marier
C’est un bon oreiller

Elle est une aventure
Avec ses jolies courbures
Elle sait les rendre durs…
Réputée jusqu’au-delà du Mur

Elle est ma muse, mon idéal
Elle me donne la dalle
Avec elle tout est utopique
Qu’il est beau l’cul d’la taverniste !

Si j’avais peur d’la guerre
Jme planquerais dans ses jupons
Parler stratégie militaire
Avec son bon con !

Je lui ferais l’amour
Tous les jours de l’année
Mais tout l’monde lui tourne autour
Et j’suis que du bar le pilier

Elle est ma muse, mon idéal
Elle me donne la dalle
Avec elle tout est utopique
Qu’il est beau l’cul d’la taverniste !

Jamais elle n’vieillira
Parce qu’elle est immortelle
Le temps glisse sur cette dame-là
Comme coule l’hydromel

Un jour enfin j’l’ai eue
Pour une nuit de merveille
J’ai pu tâter son cul
Bon sang quelle femelle !

Elle est ma muse, mon idéal
Elle me donne la dalle
Putain qu’elle me fout la trique !
Qu’il est bon l’cul d’la taverniste ! »

Les paroles

« C’était un valeureux chevalier
Qui vivait au Val, l’heureux
Il monta à la capitale des Eyrié
Pour jouter parmi les preux

Mais le pauvre fils au blason de vis
Fut démonté par le rugissant
En une seule lance il goûta la lice
Et rentra chez lui perdant

Oh nul honneur, oh nul honneur
Pour Branle-Dard de Roche-aux-Burnes
Il reviendrait meilleur, oh bien meilleur
Pour faire hurler la tribune !

Bien des années plus tard
Il revint tout plein d’espoir
Et le souvenir de la honte
Lui donna la vigueur du lion

Alors Branle-Dard jouta
Tous ses ennemis mis à bas
Puis alors Branle-Dard juta
Victorieux il honora ses draps

Fut-ce la belle dame
Couronnée reine
Fut-ce la belle Farman
Qui fut souveraine

Elle lui donna courage
Honorée de ses braies
Lui causa mouillage
Dans ses rêves il la fit sienne

Oh quel bonheur, oh quel bonheur
Pour Branle-Dard de Roche-aux-Burnes
Il fut vainqueur, oh fut vainqueur
Le Branle-Dard de Roche-aux-Burnes

On dit de cet homme-là
Qu’il vaut son pesant d’or
Les poches pleines de son apport
Les burnes vidées dans l’matelas »

Les paroles

« Sellez donc, bridez donc belles montures,
Vrais lurons tombez toute parure.
Armez-vous, battez-vous sans votre foi,
Fiers guerrier, le Serpent vous envoie.

Les femmes exaltent de joie.
Font l'amour et jouissant en chœur.
Avec fougue s’en vont détendre.
Le Serpent dans sa demeure !

Malgré l’odeur et les guenilles,
Guerrier sans peur qui point ne vacille.
D’allant de Castal Roc à Accalmie,
Offrant tutelle à tous ses amis

L’or s’invite avec courtoisie.
Le butin des morts lui est remis.
Le Serpent, à l’ombre du chêne.
Festoie pour cette dame promise. »

Les paroles

« La Néra craint pour sa peau, heia oho.
Car Lord Baelor viendra bientôt, heia oho.

Oh oh oh oh oh !
A Hautjardin, nous irons!
Mettant fin à ce que nous vivons!
Oh oh oh oh oh !
A Hautjardin, nous irons!
Mettant fin à ce que nous vivons!

Les Hightower battent le rappel, heia oho.
Et pour le Bief c’est le réveil, heia oho.
Sur nos écus, la tour qui veille, heia oho.
La pierre est grise, le sang vermeil, heia oho.

Oh oh oh oh oh !
A Hautjardin, nous irons!
Mettant fin à ce que nous vivons!
Oh oh oh oh oh !
A Hautjardin, nous irons!
Mettant fin à ce que nous vivons!

Et nous irons pour les venger, heia oho.
Tous nos frères d’armes empoisonnés, heia oho.
Cette voie, nous l’éclairons, heia oho.
Et les Romberd nous les pendrons heia oho.

Oh oh oh oh oh !
A Hautjardin, nous irons!
Mettant fin à ce que nous vivons!
Oh oh oh oh oh !
A Hautjardin, nous irons!
Mettant fin à ce que nous vivons! »