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Message par Invité Dim 28 Mai - 17:47

Sur les cendres des morts
(Gendry & Odda)
Winterfell ۩๑ ๑۩ Lune 13, Semaine 1, Jour 4 (302)

Au-dehors de Winterfell, cendres et sang séchés se mêlaient sur la boue glacée de ce qui fut, quelques jours auparavant, la plus terrible des batailles jamais vécue par les hommes. Dans le ciel, de lourds nuages gris offraient au paysage environnant une allure morne, endeuillée par les pertes trop nombreuses qu’avait subi le Nord à l’arrivée des morts. L’air empuanti par l’odeur de chair brûlée donnait la nausée à tous ceux qui le respiraient ; et aucun ne pouvait y échapper. Les bûchers se succédaient car ils étaient tant les hommes et femmes à avoir perdu la vie durant la longue nuit.

Certains pleuraient encore le départ de leurs proches, épuisés de verser des larmes qui ne ramèneraient jamais les disparus mais trop emplis par le chagrin pour se consacrer à toute autre tâche. En dépit de l’euphorie qui fut celle des survivants après la bataille, il demeurait comme un étouffant sentiment de vide et de tristesse dans le fief des Stark.

Gendry faisait partie de ces gens qui, rongé par le désespoir, observait les noires fumées des bûchers se répandre au-dessus de sa tête. Néanmoins, lui ne pleurait plus pour ceux qui s’étaient battus jusqu’à la mort. Sa peine lui venait d’un évènement bien moins important, d’une personne qui vivait encore ; d’une personne sans qui les Autres et le Roi de la Nuit auraient triomphé des hommes.

Les poings serrés et les dents crispés, le jeune homme inhalait la puanteur qui l’entourait sans même y penser. Plus rien ne lui semblait avoir d’impact, ni d’emprise sur lui en dehors de l’échec et de cette étrange sentiment de trahison qui l’habitait.

Il se sentait malade ; malade d’avoir été froidement rejeté par une fille exceptionnelle pour laquelle il s’était épris.

Avait-il, malgré lui, fait souffrir la jeune femme lord de leur nuit d’amour ? Avait-il eu les mauvais gestes ? Les mauvaises paroles ? L’impatience ou, au contraire, la timidité qu’elle n’aimait guère ? S’était-il trop précipité en lui demandant sa main ? L’avait-il effrayé par son assurance ?

Non. Non, Arya n’a peur de rien, et encore moins d’un gars comme moi.

L’incompréhension aggravait le mal qui l’étreignait. Il ne croyait pas à ses explications et se torturait l’esprit depuis que tous deux s’étaient quittés avec la certitude que leur relation ne fonctionnerait jamais.

Il passa une main sur son crâne, étouffa un grognement pitoyable puis s’arracha aux remparts pour ne plus contempler les ruines de la bataille. Perdu dans ses pensées, Gendry trainait son corps sans véritable joie dans les entrailles du château des Stark. Nombres d’hommes, qu’ils appartinssent à Daenerys Targaryen, à Jon Snow ou à Sansa Stark, terminaient de noyer leur chagrin dans l’alcool. D’autres commençaient à déblayer la cour intérieure de la forteresse afin de pouvoir réparer les dégâts au plus vite. Et les derniers se préparaient pour la guerre qui restait à venir ; celle qui opposerait les vivants à leurs semblables.

Les têtes étaient hautes mais les cœurs étaient bas, car peu souhaitaient s’engager si rapidement dans de nouveaux conflits. La plupart des hommes subissaient encore le contre-coup de la longue nuit et ne demandaient plus qu’à se reposer, panser correctement leurs plaies et profiter un court instant de leur existence avant de repartir guerroyer. Malheureusement pour leur fatigue, il se murmurait déjà que Daenerys et Jon ne comptaient pas attendre avant d’assiéger Port-Réal.

Et tandis que Gendry se demandait si Arya, dont la haine envers Cersei était plus forte que l’amour qui l’unissait à ses proches, ne se rendrait pas dans la Capitale en douce pour tuer la Reine, son corps se heurta violemment à celui d’une femme fort vêtue.

Le jeune homme manqua de l’agresser d’une remarque acerbe, mais il parvint à se reprendre lorsque ses yeux croisèrent les siens. Une sauvageonne.

— Euh… Pardonnez-moi, je ne regardais pas où j’allais.

Il lui adressa un regard gêné, tandis que ses mains se trituraient l’une et l’autre.

— Hm… Je ne vous ai pas fait mal ?




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Odda marchait d'un pas déterminé dans la cour intérieure de Winterfell, absorbée par ses pensées. Elle avait assisté à la bataille contre les morts, observant les combats depuis les remparts. Les souvenirs de la violence et de la destruction étaient encore vifs dans son esprit. Elle avait été impressionnée par la détermination des hommes et femmes qui s'étaient battus, mais elle n'avait pas le temps de se reposer sur ses lauriers. alors que dans Winterfell les soldats préparaient leurs armes et leurs armures, des femmes et des enfants se rassemblent en groupes, cherchant un peu de réconfort dans la présence des autres survivants, Odda elle se frayait un chemin dans les couloirs encombrés, elle percuta violemment un homme. Surprise, elle leva les yeux et rencontra le regard gêné de Gendry, dont les mains se trituraient nerveusement. Odda se mordit la lèvre inférieure, une lueur d'intérêt malsain brillant dans ses yeux. Elle aimait observer les faiblesses des hommes

— Euh... Pardonnez-moi, je ne regardais pas où j'allais, s'excusa-t-il maladroitement.

Son regard glacial scrutait chaque détail de son visage, comme si elle cherchait à lire en lui. Elle était experte dans l'art de manipuler les autres à son avantage, et elle ne comptait pas faire exception cette fois-ci. Odda avait appris à utiliser les mots avec une habileté dangereuse, semant la discorde et la méfiance parmi ses ennemis et ses propres alliés. Sa langue était une arme redoutable, aussi pernicieuse que le venin d'un serpent.

— Hm… Je ne vous ai pas fait mal ?

s'exprima-t il

Odda était vêtue d'une armure de cuir usée par les combats, mais qui témoignait de son expérience sur le champ de bataille ainsi que de plusieurs couches de fourrure. Son visage était dur et déterminé, couvert du sang des autres et de boue sécher à certain endroit. Elle brisa enfin le silence qui régnait entre eux. Elle savait qu'il était vulnérable, et elle allait en profiter alors elle leva les sourcils d'un air taquin et lui répondit d'un ton railleur :

— Tu aurais bien aimé me faire mal, n'est-ce pas ? Les hommes du Sud ont toujours eu un certain goût pour la violence.

répondit-elle d'une voix calme mais dénuée de chaleur.

-Faites simplement attention où vous mettez les pieds la prochaine fois.

Elle observa sa réaction, un petit sourire aux coins des lèvres qui trahissait le sérieux qu'elle mettait dans la réponse. Elle décide alors d'ajouter afin de poursuivre la discussion.

-Tu sembles tourmenté par la tristesse.

lâcha-t-elle d'un ton neutre, presque détaché. Sa voix était froide comme la glace, mais ses mots étaient teintés d'une curiosité dissimulée. Elle avait l'habitude de lire les émotions sur les visages des autres, de décrypter leurs faiblesses et de les exploiter à son avantage. C'était l'une de ses armes les plus puissantes.

- Tu peux m'appeler Odda si tu veux, j'ai l'habitude des présentations avant que l'on me rentre dedans.
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Sur les cendres des morts
(Gendry & Odda)
Winterfell ۩๑ ๑۩ Lune 13, Semaine 1, Jour 4 (302)

À dire vrai, Gendry ne savait toujours pas quelle attitude adopter face aux sauvageons. Il lui semblait que leurs cultures très éloignées l’une de l’autre créait des dissentions entre eux. Le jeune homme comprenait mieux pourquoi il ressentait haine et méfiance envers ceux qui vivaient au-delà du mur, lui-même aurait arboré les mêmes sentiments s’il avait dû grandir dans une terre hostile avec des morts-vivants pour seule compagnie, toutefois pouvait-il se montrer compatissant envers eux ? Ces gens, que le véritable Nord avait terriblement endurci, ne voulait certainement pas de la pitié d’un « gamin » venu du sud.

Gendry dévisageait donc la femme qui se tenait bien droite devant lui avec un air vaguement perdu. Il se montrait poli, ne sachant trop si ce comportement lui vaudrait des remerciements, un reniflement dédaigneux, voire un coup de poing. Les filles du Nord n’étaient certainement pas aussi délicates que celles du Sud, alors il fallait s’attendre à tout de leur part.

Néanmoins, le jeune Baratheon écarquilla les yeux lorsque la blonde à l’armure de cuir lui répondit d’un ton moqueur quelques sous-entendus intimes.

— Pardon ?

Soudain irrités et touchés par des tournures de phrases qui les ramenaient trois nuits auparavant, les muscles de Gendry se tendirent tandis que ses yeux s’emplissaient d’une étranger lueur à mi-chemin entre la tristesse et l’agacement.

— Je ne sais pas quel type vous avez rencontré pour sortir des conneries pareilles mais non, les gens du « sud » comme vous nous appelez ne sont pas tous des connards assoiffés de violence.

Il n’avait montré que douceur et affection à Arya, et à quelques autres qui le méritaient. Toutefois des souvenirs plus anciens et bien moins plaisants ressurgir, et toute la bonté d’âme qu’il voulait prêter aux siens s’évapora.

Il songea à cette femme, Melissandre, qui l’avait séduit pour prendre ce qu’elle voulait sans son accord, à son oncle Stannis Baratheon qui aurait aimé le sacrifier, au « fils » de son père qui l’avait pourchassé pour le tuer, et à tous ces gens importants, riches et monstrueux profitant des autres sans la moindre hésitation.

Finalement, la sauvage qui lui faisait face n’avait-elle pas raison ?

Un grognement manqua d’échapper aux lèvres du jeune homme tandis que sa camarade se montrait brusquement plus tendre à son égard.

— Nous venons de survivre à une armée de morts, perdre des centaines de braves hommes et femmes en sachant qu’une autre foutue guerre nous attend…

Il adressa un regard las à la sauvage blonde.

— Vous ne trouvez pas que j’ai de bonnes raisons d’être tourmenté par la tristesse ?

Bien sûr, le garçon ne s’épanchait pas sur ses peines de cœur mais la femme n’avait pas besoin de le savoir.

— Appelez-moi Gendry, Odda.

Un peu par dépit, mais également car il ne savait quelles règles de bienséance s’échangeaient chez les sauvageons, Gendry lui tendit une main amicale. Après tout, ils venaient tous deux de survivre à une terrible bataille.

— J’ai entendu dire que les vôtres allaient repartir et ne pas se mêler plus que ça aux conflits qui restent à venir ?




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Odda observa Gendry avec attention, ses sourcils se fronçant légèrement en entendant sa réponse chargée d'émotion. Il y avait plus en lui que ce qu'elle avait initialement perçu. Elle comprenait maintenant pourquoi il réagissait de manière si défensive et ressentait de l'amertume envers les gens du sud. Les épreuves qu'il avait traversées avaient laissé des cicatrices, tout comme les siennes.

Elle écouta attentivement ses paroles, reconnaissant la douleur et la colère qui se cachaient derrière ses mots. Odda était habituée aux combats, à la perte et aux trahisons. Elle savait que la guerre laissait des marques profondes, des blessures invisibles qui ne guérissaient jamais complètement.

La sauvageonne prit une légère inspiration, évaluant la situation avec son esprit affûté. Gendry avait montré une certaine vulnérabilité, un écho de souffrance qui résonnait en elle. Elle décida de prendre un risque, de se montrer un peu plus ouverte avec lui.

— Je comprends. La tristesse et la colère sont des compagnons fréquents après de telles épreuves. Nous avons tous nos démons à affronter.

Elle hésita un instant, puis décida de partager une partie de son propre fardeau.

— J'ai moi-même traversé des moments difficiles. Les terres au-delà du mur ne sont pas tendres. La violence et la mort font partie de notre quotidien. Mais je ne laisse pas ces épreuves me définir. Je les utilise comme un feu qui forge ma détermination.

Odda fixa intensément Gendry, ses yeux bleus perçants pénétrant dans son âme. Elle savait que sa propre histoire et son expérience en tant que sauvageonne pourraient éveiller en lui une certaine curiosité, une soif de comprendre.

— Les miens sont prêts à retourner chez eux, c'est vrai. Mais cela ne signifie pas que nous ne nous soucions pas de ce qui se passe ici. Nous savons que nos destins sont liés à ceux des autres. Les morts marchaient contre nous tous, et nous avons combattu côte à côte. Nous sommes plus semblables que vous ne le pensez.

Odda ne savait pas si ses paroles résonneraient chez Gendry, mais elle avait pris le risque de se montrer plus vulnérable. Elle n'était pas une simple manipulatrice, mais une personne qui avait également été forgée par la dureté de la vie au-delà du mur.

Elle laissa un léger sourire s'épanouir sur son visage, cherchant à apaiser les tensions entre eux.

— Alors, Gendry, peut-être que nos chemins se sont croisés pour une raison. Peut-être qu'ensemble, nous pourrions trouver la force et le moyen de vaincre les tourments que votre esprit semble vivre à cette heure. Que pensez-vous de cela ?
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Sur les cendres des morts
(Gendry & Odda)
Winterfell ۩๑ ๑۩ Lune 13, Semaine 1, Jour 4 (302)

Plus la discussion avançait, plus Gendry ne savait quelle attitude adopter face à cette sauvageonne. Il la trouvait bien calme, presque apaisée alors même que les morts lui avaient arraché de nombreux compagnons. Cette quiétude lui venait certainement de son quotidien au-delà du Mur, là où le froid régnait autant que la faim, et où la moindre erreur pouvait s’avérer fatal. Avec un tel environnement, elle était, comme ses compagnons, plus résistante et moins craintive à l’approche de la mort. Le jeune homme posait sur elle des yeux à la fois méfiants et curieux, ne sachant que penser, ni quoi répondre à cette manière si singulière et rapide de tirer un trait sur les évènements passés.

Lui en était incapable, et pourtant il aurait tout donné pour oublier. Ne pas se rappeler des morts, de leur hargne surnaturelle, de leurs cris glaçants, de leurs yeux désespérément trop bleus et de l’image qu’il restait de toutes ces choses en dépit des nuits et des jours qui s’étaient écoulés.

Je voudrais oublier Arya. Ses lèvres se crispèrent soudain, tout comme ses poings et ses dents qui grincèrent. Cette pensée l’accompagnait depuis que la jeune femme l’avait rejeté, lui et tout son amour au profit d’une aventure dangereuse.

Gendry tenta de balayer son visage hors de son esprit d’un geste vif de la tête tandis qu’il jetait sur les alentours un regard emplit de colère.

— Eh bien… J’aimerais avoir la force de votre façon d’entrevoir les choses, Dame Odda.

Tout ce ressentiment n’était pas dirigé contre elle, toutefois le jeune homme ne pouvait le garder plus longtemps enfoui dans son âme. Ce n’était pas juste pour Odda, évidemment, et Gendry s’excuserait dès que son humeur redeviendrait plus agréable.

Pour l’heure, il se complaisait dans ses émotions, aussi vicieuses et sombres fussent-elles.

— Semblables ? Oui, certainement. En tout cas, je me sens plus proche de vous que des trous du cul que nous appelons nobles ici.

Daenerys Targaryen et Jon Snow semblaient différents, bien sûr, toutefois le jeune homme se souvenait encore avec amertume de son oncle, de sa machination dégoûtante et de tous ces peigne-culs qui sacrifiaient tout à chacun dans le simple but de prospérer. J’aurais peut-être bien mieux vécu de l’autre côté du Mur, tiens.

Seuls les morts-vivants lui ôtèrent cette certitude d’un frémissement d’horreur.

Odda le conduisit alors sur un autre sujet, auquel Gendry répondit d’abord d’un haussement de sourcil avant de détendre ses muscles. Depuis la fin des combats, il était sur la défensive ; depuis Arya, tu veux dire.

— Hein ?... Euh… Oui… Sans doute…

De nouveau décontenancé, Gendry la regarda un temps sans bouger avant de lui tendre une main maladroite et amicale.

— Après tout… Maintenant que nous avons survécu aux morts ensemble nous sommes… Euh… Amis, non ?




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