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[MOAT CAILIN] La débacle de Moat Caillin [FLASH]

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Moat Cailin se dressait là. La ruine laissait deviner la grandeur d’antan de la forteresse, et bien que de ses vingt tours seulement trois étaient toujours debout, elle restait impressionnante, encerclée de douves que les légendes disaient remplies de lézards-lions. Contrôlant l’entrée, une poignée d’hommes avaient l’air alerte.

----

Avisant la forteresse au loin, mon regard allait de temps à autre vers Cyrus qui guettait le signal de nos hommes au Nord de la place forte. Derrière moi se tenait le reste de la troupe en pleine préparation finale. L’objectif était simple, nous allions faire rentrer dans les chariots plein de foin et de merde le gros des hommes et tenter l’élément de surprise.

-Préparez vous messieurs, on en a plus pour longtemps.


-----

Depuis que le Nord avait retrouvé son indépendance, Moat Cailin était redevenu une position clé pour le royaume des Stark, protégeant la frontière avec le Sud. Marq était jeune, et c'était pour cette raison qu'il en faisait souvent trop : parce qu'il devait se prouver à lui comme à ses hommes qu'il méritait sa place ici. Il siffla bruyamment en voyant des hommes approcher, levant une main vers eux, il les héla. Flanqué de neuf soldats nordiens, il était difficile de l'effrayer. Cette place forte il la tenait, et pour toujours il la tiendrait.

— Hep là ! N'avancez plus.

D'un geste, il ordonna à ses hommes de s'avancer, ce qu'ils firent sans rechigner.

— On va fouiller tout ça, faudrait pas que vous fassiez entrer n'importe quoi dans not' beau royaume.

------

Le signal apparut au loin et Cyrus me fit le signal de la tête. Tapotant dans mes mains, je coulais un regard aux hommes.

-Bon les gars, c’est notre heure. Nos hommes sont de l’autre coté et en nombres, ils lanceront l’attaque quand on commencera à faire du bruit. La forteresse en face de nous. Cette place, aucune armée ne l’a prise. Mais nous ne sommes pas une armée ! On est des putains de riverains et on est juste ce qu’il faut pour briller ! Alors vous allez rentrer dans ces chariots de pailles et de merde et vous allez réussir là ou des Lannister se sont péter les dents ! Allez, allez, allez !

Les hommes montèrent à bord des chariots et on les camoufla bientôt sous la cargaison. De mon côté, j’enfilais un habit et des peaux de bêtes avec les hommes faisant office d’escortes, camouflant nos armures et nos lames.
On avança en direction ensuite des portes, avec les chariots et nos monture ou une patrouille vint nous aborder. Le capitaine alla à ma rencontre. Je déglutis légèrement et je tachai de me souvenir de ma jeunesse dans les campagnes riveraines, ainsi que de ce que j’entendais dans les tavernes des différents bas fond des Sept Royaumes. Descendant de ma monture, j’allais vers le garde.

-Ola Gancho ! Va t’il po qu’se’oit l’beau Nord ! Por’ sur ! M’cousin L’Baro p’xemple m’t’il dit qu’le fomma d’Nord c’te plus fomma d’continent ! C’te po vrai !?

Je ricanais tout en envoyant ma main taper dans le buste du garde, en signe de camaraderie. Je levais ensuite ma main, désignant un des chariot remplis de fumier.

-C’te tas d’crotal ? Oh p’or sur Gancho ! C’te beau l’tas d’fum’. L’va à Blancleportal  por’ l’marchant c’te lo bas.

Je souriais largement. Que les Septs bénissent les pécores.

Plusieurs émotions passèrent sur le visage de Marq. Une sincère surprise, une profonde incompréhension, un air un brin moqueur, mais il le ravala bien vite et fit taire toute surprise. Dans son dos, il entendit pouffer l'un de ses hommes, et cracha sur le pécore :

— Qu'est-ce qu'y m'chie lui ? Répète et parle correctement !

-----
Le plan semblait marcher pour le moment. Le garde ne comprenait pas grand-chose et les hommes derrières lui semblaient passer un bon moment. Je riais à nouveau en entendant le garde parler avant de lui offrir une nouvelle tape, cette fois ci sur l’épaule.

-C’te le cas d’le baragouine Gancho !

J’allais en direction du premier chariot remplit de merde, attrapant du crottin avant de le sentir et de lui tendre.

-C’te beau l’chiassas ! L’ange de bes’tasse d’Neck y l’vache d’B’marché ! L’meilleur f’tilisant po’r l’terre ! Beau prix à Blancleportal !

Conservant un sourire idiot, mon regard alla sur la forteresse derrière eux puis sur les gardes eux-mêmes.

-L’soldat Starcko ? Ah m’ssi j’te étais soldat p’dant l’guerre! Por’ Lord Tullysa ! J’te même vous l’Roi d’Nord Starko l’une fois ! D’loin ! L’Jeune Loup ! J’te laissa l’guitard p’dant guerre.

Cette anecdote était en partie vrais. Lors de la bataille du Bois aux Murmures, j’avais vu au loin le Jeune Loup fondre sur les forces lannister.

Tapotant ma cuisse, je prétextais une prétendue infirmité à la jambe pour appuyer mes dires.

-----
Marq afficha de nouveau sa surprise, puis il grogna avant de faire signe à ses hommes de le suivre. Il s'approcha de la charrette et poussa le gueux.

— Ferme-la, râla-t-il. T'iras chier tes conneries à Blancport quand on aura fouillé.

Puis il prit une poignée de foin mêlé de fumier dans sa main pour inspecter la première charrette.

-----
Cela se passait pas si bien que ça finalement. Le capitaine et sa patrouille allèrent en direction des chariots pour les inspecter. Mon premier regard alla en direction des tours, cherchant à voir si une sentinelle nous surveillait. Mes pas me conduisirent ensuite à la suite du Capitaine tandis que je fis signe aux autres de se mettre en position. Nous devions les neutraliser rapidement s'il y avait le moindre soucis.

-Ça Gancho po'r sur ! T veux que j'te vidasse l'caleche ?

Conservant mon sourire, je parlais un peu plus fort pour signaler le danger à nos gars dans les chariots

------
Marq plissa le nez en se penchant sur la charrette. Rien que du fumier et de la paille, rien de bien intéressant. Il fit signe à ses hommes.

— Bon, vous pouvez entrer.


D'un geste, il ordonna à deux de ses hommes de leur emboîter le pas et lui-même se recula pour regarder les charrettes pénétrer l'imprenable Moat Cailin.

-------
J’allais pour tirer une dague dissimulée sous mon manteau de voyage mais je me ravisai en voyant que le capitaine nous donnait son accord. Je sifflai légèrement, incitant les chariots à avancer à nouveau avant de tapoter l’épaule du Nordiens.

-M’ci Gancho !


J’emboitai le pas aux chariots et nous allions en direction de la forteresse. Une fois dans la ruine, mon regard allait un peu partout et surtout au niveau des tours. Notre premier objectif était la Tour des Enfants du Concierges. Les hommes au Nord n’allaient pas tarder à ce manifester à mon avis. Il allait falloir couvrir les hommes le temps qu’ils enfoncent les portes des tour.

-Mah mah mah ! Michto l’tour !


------

Tandis que la charrette s'avançait à travers la cour de la forteresse, arrivant non loin de la Tour du Pochard, un soldat grassouillet s'avança vers les paysans, l'air curieux. Ridicule dans son armure mal ajustée, il leva un sourcil et renifla de son nez porcin :

— Z'avez dit qu'z'allez ô Blancport ? J'ai une tante qu'y vit, 'la d'la barbe même. Et z'allez souvent l'bas ?


------
Bon, pour le moment ça se passait bien. Il y avait quelques archers en hauteur mais on était pas encore découvert. On devait juste prendre position au niveau des deux dernières tours. J’étais concentré sur mes observation quant Gras’Double vint à ma rencontre. Bah merde alors, on aurait cru le fruit d’une union entre un sanglier et une bonne femme !

Je levai ma main à son encontre, le saluant après avoir fait signe aux autres de continuer.

-’La Gancho ! Blancportal ? Po’r sur ! C’te primaire m’is m’cousin l’Baro m’dit qu’cete beau’ffaire !


Je posai délicatement ma main sur l’épaule du garde, l’incitant à marcher quelques pas avec moi.

-L’tendu l’capitanasse l’entrée ? L’vauriens sur route ? Ah mah, l’deux choses qué j’pe po piffer ! L’vaurien d’route y les Ouestriens !

Je crachai par terre un énorme glaviot pour signifer mon mécontentement. Les hommes sur les charrettes et autour continuaient d’avancer. Ils attendaient le signal pour prendre position.

-------
Sortant de la Tour des Enfants, un peu plus loin sur le chemin, un homme à l'armure lustrée et aux manières plus raffinées s'approcha de la charrette. Les yeux d'abord plissés, les poings sur les hanches, Flement portait la bannière des Starks en un fanion à sa ceinture, preuve qu'il était un officier. Il croisa les bras, arrêté à quelques mètres du petit groupe. Puis haussa les sourcils : ce n'étaient que des paysans, rien de bien inquiétant.

— Vous ferez attention dans le Nord, certaines routes sont pas bien sûres.

----------------
Le convoi continuait d’avancer. Je ralentissais la cadence lorsqu’un officier vint porter son attention sur moi. Mon regard alla d’abord vers la tour puis vers ce dernier. Je n’avais pas entendu de mécanisme lorsqu’il était sortie. Il devait avoir les clefs, ou alors la porte n’était pas vérouillée. Echangeant des regards entendus avec les autres, je me mis à avancer dans sa direction en levant la main droite.

-B’jour seigneur.


Exécutant une brève révérence, j’allais me poster devant lui.

-L’route sont po’ sure qu’vous dites ? C’ta dire ? C’est que nous allons…


Ne finissant pas ma phrase, je fis un bond en avant, extirpant la dague à ma taille pour la mettre sous la gorge de l’officier. J’envoyais ensuite le premier signal en sifflant. Les chariots devant accélérèrent le rythme, en direction de  l’entrée de la tour du Concierge tandis que le reste des chariots me rejoignirent, nous camouflant brièvement. Des hommes sortirent de la cargaison de foin et de merde avec leur armes et leur bouclier et je pressai l’officier contre la porte.

-Ouvres là et tu vivras… Joues les héros et tu crèveras dans l’oubli.


------
Flement hoqueta, pris par surprise. Il tenta bien un coup de coude en arrière, dans l'espoir de se dégager, mais il était pris au piège. Le souffle coupé, il leva la tête pour essayer d'échapper à la  dague qui le menaçait. Obéissant, ses mains tremblèrent pour saisir la clé au fond de sa poche. Il déverrouilla la porte. Au même instant, dix hommes sortirent de la tour, les armes tirées.

------
J’aggripai par la tignasse le capitaine avant de passer mon coude autour de son cou, le prenant en otage en passant le fil de ma dague sous sa gorge. Les hommes prenaient place autour de moi tandis que les autres chariots se postaient non loin de la tour du Concierge.

-Dis leur de lacher leur arme et de rentrer dans la tour. On est pas là pour un carnage.


J’appuyai un peu plus ma lame contre sa gorge tandis que les hommes avec moi s’avançaient vers les soldats face à nous. Quoi qu’il en coute, nous devions prendre possession de la tour des Enfants.
De leur côté, les hommes sortirent des chariots près du Concierge et essayèrent d’ouvrir la porte de la tour.

------

Les hommes à l'entrée de la tour se figèrent, ne sachant quoi faire : leur capitaine avait le couteau sous la gorge mais ils avaient prêté serment, et coûte que coûte ils devaient défendre le Nord et sa frontière. C'est alors que des volées de flèches fusèrent depuis la Tour du Concierge, onze hommes du Serpent tombèrent sous l'assaut. En parallèle, les archers restants au sommet de la Tour des Enfants visèrent comme ils purent mais ne parvinrent à abattre qu'un seul homme se trouvant au pied de la Tour du Concierge.

Les hommes de Flement se trouvèrent alors à dix contre douze, retrouvèrent un peu de leur bravoure, et l'épée en main, ils s'avancèrent. Flement, lui, ferma les yeux. Il savait qu'il en était fini de lui, alors il choisit avec soin ses derniers mots et beugla pour insuffler du courage à ses hommes :

— Pour le Nord !

Et les hommes de la Tour des Enfants donnèrent l'assaut.

----
Nos gars sur la tour du Consierge allèrent pour forcer la porte. Les hommes levèrent leur bouclier pour couvrir ceux s’attaquant à la porte. L’un d’eux attrapa son cor à la ceinture et le fit résonner.
De mon côté j’avisai les hommes à terre à mes côtés, les archers avaient fait un massacre. Aussi en représaille, je fis sauter la gorge du capitaine avant de le jeter au sol. Si on voulait pas se faire démonter rapidement, on devait forcer le passage. Je dégainais ma lame et j’allais au contact des Nordiens.

-Avec moi les gars ! On doit forcer l’entrée si on veut pas y passer ! Pour le pognom !

Lâchant un hurlement, je lançais une charge, allant croiser le fer avec mes compagnons.
Au Nord de la forteresse, le gros de mes forces déferlèrent sur la forteresse. Il y avait bien quatre vingt lascars qui avançaient en formation pour minimiser les dégats des archers, bouclier en main. Si les archers tiraient sur nous, ces types là pourraient déferler aisément.

Les hommes de la Tour des Enfants hurlèrent en repoussant l'assaut des mercenaires. Au même moment, des deux tours mises en alertes surgirent de nouvelles volées. Les flèches furent cette fois meurtrières : les renforts venus du Nord auprès du Serpent se firent ravager, trente-neuf hommes s'écroulant parmi eux. A la tour des Enfants, ce sont six hommes qui moururent devant la porte. A la tour du Concierge, les hommes eurent encore un peu de chance, seuls trois d'entre eux mourant sous les impitoyables flèches des défenseurs du Nord.

Merde merde merde... Les cris fusèrent de partout. C'était une putain de boucherie mais si on battait en retraite maintenant, c'était la mise à mort pour tous le monde. Soufflant légèrement, j'essayais de saisir un soldat pour le repousser à l'intérieur à fin d'être à l'abri.

-Prenez moi ces foutues tours les gars! Battez vous comme des putains de diables ou mourrez comme des bêtes que l'on abat !

Je ta chais d'obtenir un peu de soutien des hommes venus du Nord. Non, il n y aurait pas la moindre ombre de reddition.

Le combat était acharné dans la tour aux Enfants. Mes bougres se battaient comme de vrais guerriers mais ils y avaient en face un je ne sais quoi de magique. Ces damnés du Nord… On aurait dit qu’ils avaient perdu toute humanité. A la place, il n’y avait qu’un mur de glace, un mur infranchissable. Malgré nos tentatives répétées de forcer le passage, rien n’y faisait. Pire encore, je me rendis bien vite compte que notre nombre, tout comme notre morale nous avait abandonné. Les hommes virent dans mon regard l’hésitation, puis la décision la plus censé.

-On se replie !

Reculant le premier, les hommes firent bien vite de même et des carreaux d’arbalètes fusèrent tandis que nous prenions la fuite. Nous étions trois dans la cour et les archers en haut des tours pointèrent le bout de leur flèche. Il n’y avait pas grand-chose à faire pour sauver le peu qu’il restait à sauver. Serrant fermement ma dague et ma lame, je coulai un regard en direction de mes compagnons tout en souriant.

-Les gars, notre chef s’appellent Vallar Hill et c’est lui qui nous a recruté pour faire tout cela. C’est la seule version qu’il faudra dire. Lorsque l’on sortira d’ici, car je peux vous dire que l’on sortira de là, on partagera en trois l’intégralité du trésor de la bande. Si jamais l'un de vous arrive à abattre Hill, il aura ma part.

C’était plus d’argent que nécessaire pour m’assurer la loyauté de ces deux crétins.
Soupirant ensuite, je jetai mes armes au sol avant de lever délicatement les mains tout en souriant.

-On s’rend !

------
Terrance, commandant de Moat Cailin au nom de Sansa Stark, descendit de la tour du Concierge quand le vacarme fut fini. De là-haut, armé de l'arc qu'il portait maintenant en bandoulière, lui et ses hommes avaient massacré les brigands qui avaient voulu attaquer le Nord. Alors qu'il avançait vers eux, flanqué des quarante hommes qui gardaient la tour la plus au nord, il fut surpris de voir les mercenaires s'entretuer : trois d'entre eux se jettèrent sur un autre et l'abattirent en un rien de temps. Le seul à avoir mis au placard  tout instinct meurtrier jeta ses armes au sol et leva ses mains en signe de reddition. Les quatre hommes restants furent vite encerclés et mis aux fers.

— J'espère que ça en valait le coup, renifla Terrance.

Il jeta un œil à ses hommes et sourit aux brigands.

— D'abord, vous allez pourrir dans nos geôles. Ensuite... Hé bien, ensuite, on verra ce que la reine du Nord pense de connards comme vous.
Aenar
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Aenar
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