La Faux et la Louve !

La faux et la Louve
AN 306, LUNE 4 SEMAINE 3, JOUR 4

Par la petite fenêtre en hauteur , bien élèvée à près de trois mètres du sol , meublé par d’épais barreaux en métal fraichement rénovés. La cellule était bien assez grande, elle n'avait rien à voir avec les autres geôles plus classiques. La reine du Nord pouvait entendre le bruit très caractéristique d’une chaîne aux chevilles. Elle était assez grande pour parcourir la moitié de la pièce à peu près mais tout avait été agencé de manière à ce qu’elle est assez de « moue » pour atteindre ce qu’elle voulait dans sa cellule. Cela faisant quelques jours que la reine du Nord avait établie ses quartiers chez moi… Du moins , qu’elle y a été contrainte, durant le trajet du Nord jusqu’à Dix-Tours. J’avais mis un point d’honneur à ce qu’il se passe sans accrocs. Je savais respecter les otages de valeurs , fut il nordien… Et pourtant mon aversion pour cette gentilité était bien de notoriété publique.

L’ombre d’un garde planait dans la cellule , tandis que neuf autres montaient la garde non loin. Un roulement fréquent de la garde faisait en sorte que mes prisonniers étaient confronté sans cesse à de nouveau gardes , ces derniers avaient interdiction de violenter mes prisonniers affins de satisfaire quelques besoins personnel. Les gardes observait attentivement la prisonnière. Quant à la reine du Nord , ils n’avaient même pas le droit de lui parle ni même de la toucher. J’avais mis un point d’honneur à garantir la sécurité de la jeune Stark. La seule personne qui avait la clé de sa cellule , c’était bien moi, elle était sciemment dissimulée. J’approchais des cachots d’un pas déterminé , ayant changé l’armure que j’avais bien trop porté ces dernières lune pour une tunique plus décontracté mais qui allait de paire avec le statut noble. La Dame de l’Ile d’Harloi recevait Sansa Stark , il fallait bien marqué l’occasion, une petite pile de livre sous le bras j’allais donner à la rouquine de quoi bouquiner un peu.

Arrivant dans le couloir des geôles je m’empressais de saisir une chaise qui trainait là par le dossier et la fit glisser quelque peu bruyamment le long du couloir jusqu’à la bonne cellule. Confortablement installé je fis signe à un garde de faire préparer la pitance du jours à la prisonnière, une bonne portion, à al hauteur de son rang. L’obscurité nimbait al dame du Nord qui malgré la détention semblait conserver sa dignité. Je ne disais rien…Laissant un silence planait un instant, le visage penchée proche des barreau , barreaux qu’elle ne peut pas attend à cause de la chaine mais le halo d’un torche dans le couloir suffirai à éclairer mon visage.

- Bien le bonsoir …Votre majesté…La reine du Nord

Mon ton est cordial mais empreint d’une petite pique de sarcasme sur la fin . J’appuyais notamment sur son titre qui , malgré sa situation qui la plaçait en désavantage devait être important de noter par respect pour l’éthique , ainsi , Sansa comprendrait qu’elle n’avait pas affaire un cliché fer nés mais à une tout autre type d’enfant du Noyé devant elle.

- Des lune entières de préparations , davantage pour la mise en action de mes projets… Et vous voilà ici , chez moi….permettez moi , par égard pour mon beau-frère de dire , que son aide à été notable dans cette affaire…

Je laissais un temps d’arrêt , une petite pause , d’avantage pour me délectait quelque peu de la vue qui s’offrait à moi.

- Les forces Harloi et Salfailaise ont déferlés sur vos terres comme les vagues déferlent sur les côtes… Eh voici à présent que ma bannière s’élèvent depuis le point le plus haut de Winterfell…Apres l’attente de 17 ans…Voilà que le rêve de tout bon fer nés est devenu réalité…

Un nouveau temps d’arrêt, j’allais la rassurer tout de même sur un certains détail.

- Les vôtres ont bien combattu à Winterfell , s’il y a bien une chose que je peux admettre c’est que votre réputation de Louve du Nord est mérité… Vous pouvez être fière de vos hommes.

La cellule ne comportait aucune chose qui pouvait s'apparenter à des outils bien au contraire, la reine du Nord n'avait que pour seul couvert à chaque repas une cuillère en bois. En définitive , le mobilier était sommére mais la présence de livre était notable