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L'insatiable curiosité du genre humain [ Banquet ft. Aloyse ]

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Message par Tyldr Salfalaise Mar 27 Juin - 2:49

L'insatiable curiosité du genre humain
AN 305 LUNE 10 SEMAINE 3 JOUR 7
L'ivresse se faisait plus forte au fur et à mesure que l'alcool avait prit une part plus ample dans le gobelet du fer-né qui résistait bien au vin ouestrien. Pour autant il avait une sale manie à s'enivrer dans ce genre de festivités. Et pourquoi pas ? Demain  il repartirait sur son navire reprendre la direction de l'océan. Ce soir la chaleur des torches semblait plus palpable, les regards et les rires plus grands et assourdissants. Un mariage était souvent synonyme d'accords et d'alliances entre des familles pour se hisser contre un ou plusieurs assaillants. L'ennemi n'est jamais bien loin quand il s'agit d'ambitionner un peu plus de pouvoir. Prostré contre une table Tyldr ressentait le picotement de ses doigts frémir et lui rappelé qu'il fallait garder la lucidité présente. Les langues se déliaient bien trop vite dans ce genre d’empattement. Il faisait craquer sa nuque, sa mâchoire puissante se décontractant un instant pour se resservir à boire auprès d'un des nombreux servants qui se tenaient de part et d'autre de la grande salle de réception. De cette soirée il s'en souviendrait certainement bien plus que d'autres finalement.

Tyldr se massait machinalement la nuque, la plupart des convives ne prêtant presque plus réellement attention à son apparence. Il passait pratiquement inaperçu aux yeux des plus grisés. Le vin avait ce don de désinhibé les hommes comme les femmes les plus respectables. Il se remémorait les mots de Megalis Uller. La vengeance est la meilleure des motivations... Pas sûr que Tyldr partage cette vision. Il avait pu entrevoir la face sombre émergente telle un radeau à la dérive sur une mer bouillonnante. La maison Farman avait bien du chemin à faire avant d'accomplir ce dessein dans lequel Yara et ses hommes s'embarqueraient prochainement. L'insulaire se murait dans des sourires et des regards malicieux parfois croisant une jouvencelle quelque peu apeurée par son approche chancelante. La fête battait son plein, il  n'avait pas perdu son temps en venant à Belcastel, une conviction qu'il aurait bien partagé avec son frère si celui-ci n'était pas resté sur son boutre. Oui un sursaut de la réalité qui réaffirmait qu'il y avait méfiance à s'enivrer plus qu’habituellement. Il tapa le bord de son crâne machinalement se jurant intérieurement qu'il ne fallait pas laisser paraître que les fer-nés étaient des hommes comme ceux du continent. Stupide créature, tu te dois de montrer au monde que leurs cauchemars sont fondés, qu'ils ont toutes les raisons de se méfier, que de prier leurs faux Dieux pour échapper à la lame émoussée d'un couteau rouillé pour arracher la moindre parcelle de peau sur leur système nerveux. Cette sensation si déplaisante faisait rire Salfalaise en ayant cette image à l'esprit.

Il prit la direction d'une table différente, un peu plus proche d'ouestriens que des fer-nés accompagnant Yara il prit la place d'un invité trop content que d'offrir une danse à une gente dame digne de son rang. Beaucoup de coutumes insulaires leurs paraissaient étranges. C'était aussi vraie pour les leurs. Il tapotte de ses doigts la table l'air de rien dans un sifflement de langue digne du serpent qu'il incarnait à cet instant. Il avait repéré un étrange plat auquel il n'avait pas eut la chance de goûter auparavant. Alors il piocha dans l'assiette se remplissant furtivement le gosier donnant quelques sifflet du nectar s'amenuisant dans son gobelet qu'il ne lâchait plus finalement. Il ne remarqua pas la femme assise frontalement. Pas tout de suite alors qu'elle avait les yeux rivés sur lui Tyldr se sentit épier d'une façon ma foi plus qu'étrange.

Le regard en coin céruléen scruta quelques instants la jeune femme à la posture aussi droite qu'elle ne semblait pas s'offusquer du comportement du fer-né. Pour autant il ne voulait pas froisser ni se mettre à dos la haute noblesse liée aux Farman. Pas ce soir se serait extrêmement gênant. Lui qui n'en avait rien à foutre des apparences pour observé maladroitement celle-ci le fixer d'une façon si pesante le rendait prudent. Tyldr s'arrêta de mastiquer le morceau de poularde qu'il avait subtilement dérobé dans l'assiette d'un convive à portée de main. Il racla sa gorge en s'efforçant de faire comme si personne n'avait rien vu. C'était bien le cas non ? Hormis pour elle forcément... Il expira l'air d'entre ses narines soupirant avant d'entamer la conversation pour répondre avec audace ce qu'il pouvait face à la jeune lady à la chevelure flamboyante.

«  Hmr Quoi ? Vous n'avez jamais vu un fer-né goûter à plusieurs plats différents ? »  Questionne-t-il lèchant le gras au bout de ses doigts impunément.

 
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*Belcastel est en fait, et pour cause : ce n'est pas tous les jours que l'on célèbre un tel mariage. Je ne peux guère que deviner le faste qui a été déployée pour cette petite sauterie. De partout, je perçois des dizaines d'odeurs et de son. L'odeur des centaines de bougies qui éclairent la salle, des mets exquis et raffinés qui sont servis aux tables, de l'alcool qui coule à flot, et même des tenues neuves, faites de soie ou d'autre tissus précieux. Je devine aux sons de la salle que toutes les femmes sont couvertes de pierreries qui tintinnabulent les unes contre les autres, que chacun s'est vêtus de ses plus beaux atours aux froissements des tissus. J'entends les rires, les chants, les talons des servants qui s'activent pour distribuer à tous ces seigneurs et leur dame de quoi festoyer en ce jour de fête.

Moi-même, j'ai rêvetu une robe précieuse, la plus belle que je n'avais jamais portée. D'un beau vert pâle qui faisait ressortir mes boucles de feu, d'après mon très cher Zakar. Mon frère, lui, avait été pris d'assaut par d'anciens camarades, et je lui avais assuré que j'allais bien, et qu'il valait mieux que je reste à table plutôt que d'aller boire avec eux. J'étais déjà infirme, je ne tenais pas à me rajouter l'étiquette d'une femme buvant avec les hommes. Alors je suis là, sagement installée à table, sans un bruit, sirotant tranquillement un verre de vin, en picorant de temps à autre dans mon assiette.

Megalis est mariée, et moi, je devenais sa dame de compagnie. Comme le temps où nous étions enfants à jouer et gaiement bavassée me paraissait lointain ! Je me souvenais pourtant encore fort bien des cheveux dorés qui encadrait le visage angélique de ma cousine. Elle avait dû changer, avec le temps. Moi aussi, probablement. Mais mes yeux ne pourraient jamais plus me donner la réponse à cette question.

Megalis est mariée, elle qui était d'une année plus jeune que moi. En portant mon verre de vin à mes lèvres, je me fais songeuse. Mon père avait-il renoncé à trouver un fou prêt à le débarrasser de son infirme de fille contre une bonne dot ? Peut être bien. Serait-ce si malheureux ? Peut être pas. Finalement, en restant au domaine de la famille, un jour, mon frère adoré en prendrait la tête. Rapidement, je l'espérais. Ce n'était pas bien sage de souhaiter cela, mais tant que c'était en silence, qui pourrait me reprocher de souhaiter être débarrassée d'un père malveillant à mon égard ? Enfin, lorsque Zakar deviendrait le chef de la famille, si j'y vivais toujours, je pourrais y couler des jours heureux sans me soucier de quoi que ce soit. Si je ne me mariais pas, était-ce si grave ? Peut être que l'homme que j'aimerais ne se trouvait pas parmi la noblesse. J'étais déjà une honte pour ma famille, si je décidais de vivre une histoire avec un homme qui ne correspondait pas à mon rang, Zakar ne m'en blâmerait sûrement pas.

J'aspirais à une vie simple, loin des troubles de la politique. Les complots et manigances ne mènent qu'à la terreur et la vengeance. Chaque vengeance en amenait une autre, et ce cercle vicieux ne pourraient s'arrêter que le jour où les puissants auront enfin le recul pour comprendre cela. La vengeance n'apporte rien. Quelle satisfaction éprouverais-je si je devais me venger de ma chère maman, étant passée d'une mère fière à une mère maltraitante, s'amusant de mon malheur pour se distraire dans sa vie plate et pathétique ? Oui, je le savais bien, ma mère n'avait jamais aimé mon père, et n'avait jamais eu l'instinct maternelle. Sa vie était bien triste, et elle avait désormais une cible bien trouvé pour la blâmer de ses malheurs et s'en amuser. Mais ma vie à moi n'était pas aussi malheureuse que la sienne. Mes parents n'étaient pas des gens bien, mais mes trois frères étaient mes rayons de soleil au quotidien. J'éprouvais une tendresse infinie pour eux, et les savoir heureux et proche de moi suffisait à mon bonheur quotidien. Cela, et la musique.

D'ailleurs, ce soir, j'entendais bien des instruments et quelques troubadours. J'aurais aimé leur parler, échanger sur quelques instruments ou techniques nouvelles. Mais je préférais me tenir bien sage, ne pas évoquer mon amour de la musique ici, même si mes doigts me demangeaient à chaque nouvelle fausse notes qui résonnaient dans mes oreilles.

Mais soudainement, ce fut un autre son qui me parvint et m'intrigua. Un pas lourd et fort peu délicat s'était approché de la table avant d'y prendre place. Ce n'était pas les petits seigneurs qui s'y étaient installés plus tôt dans la soirée, le pas, l'odeur et les manières étaient différentes. D'ailleurs, elles étaient très différentes de tout ce à quoi j'étais habituée. Je savais bien que plusieurs seigneurs Fer-nés avaient été invité, etait-ce l'un d'entre eux ? Je n'en avais jamais rencontré, mais parmi les nombreuses odeurs qui nous entoure, je perçois un parfum salin, comme celui des marchands qui voyageaient par la mer et dont le corps prenaient l'odeur de ses embruns.

Sans faire exprès, mon regard pourtant vide se pose sur lui, car c'est probablement un homme au vu du bruit qu'il avait pu faire en s'installant, que ce soit de sa tenue ou de sa carrure. Je le fixais sans le voir, me posant mille questions. Moi qui étais très curieuse avait bien du mal à contenir le flot de question que mon esprit voyait défiler. Je n'aimais pas me fier aux racontards, mais avoir un véritable fer-nés me permettrait peut être d'en apprendre plus ? Je savais qu'il croyait et vénérait un Dieu en particulier, qu'ils étaient réputé pour être des brutes et les meilleurs marins de Westeros, mais c'était à peu près tout.

L'homme parle, et je devine qu'il s'adresse à moi. Je réalisais donc que mes yeux aveugles étaient posés sur lui depuis de longues minutes. Sa question m'arrache un sourire amusé, et l'alcool que j'avais bu me rendait moins méfiante, plus joviale. Ainsi, je répondais : *

"Et bien, en réalité sire, jamais. Vous êtes d'ailleurs le premier fer-nés que je rencontre. Aimez-vous ces plats ?"

*Demandais-je poliment, avec un sourire, sans crainte et surtout, le coeur ouvert à l'inconnu.*
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L'insatiable curiosité du genre humain
AN 305, LUNE 10, SEMAINE 3
le premier d'une longue lignée de sales fils de pu... Elle ne croyait pas si bien dire. Tyldr prenait ses aises s'installant confortablement dans le siège et prenant une place prépondérante au devant de cette jeune et magnifique fille de on ne sait qui déjà ? Il n'avait pas la connaissance des visages et encore moins des ouestriens qui se ressemblaient tous dans leurs tenues guindées. Son œil oscilla un instant sur la tenue de celle qui lui avait répondu avec une facilité qui le laissait circonspect. Était-ce une manière courtoise de sa part de ne pas mentionner qu'il avait jouer au pique-assiette juste avant ?

La spontanéité de sa réponse avait un ce je ne sais quoi. Une sensation qui au fond de son esprit perturbait l'insulaire. S'agissait-il d'une moquerie dissimulée sous les traits d'une jolie femme ? Car oui il s'agissait là d'une jeune et belle créature le fixant avec insistance. Un sourcil s'arqua sans qu'il n'apporte de réponse préférant détourner ses mirettes pour jauger autour si d'autres convives ne le dévisageait pas à cet instant. Mais elle cette parfaite inconnue semblait ne jamais dévier de lui, elle restait figée et cela avait pour réaction de créer en lui une drôle d'impression. Tyldr agissait avec son flegme habituel, rien qui ne puisse le dissuader de se faire plus discret.

« Pas surprenant... Même si vous n'êtes pas la première ouestrienne que je vois. » 

Rétorque-t-il comme pour jouer le jeu d'une conversation ouverte des plus banales à ce sujet. En ayant voyagé on se retrouve à croiser toutes sortes de gens.

« Sa me change des têtes de harengs. » Réplique-t-il satisfait de pouvoir remplir et son ventre et susciter chez elle un dégoût qu'il espérait afficher sur le visage de la jeune dame. C'est ce qu'il pouvait  en tirer avec une satisfaction peut-être plus personnelle de voir les fragiles créatures du continent se fissurer sur son comportement. Il en tirerait une satisfaction personnelle pour s'en amuser ce soir.

« Et bien si je suis le premier fer-né que vous rencontré ce soir, vous avez au moins la chance de parler avec l'un des plus terrifiants. » 

Se vante-t-il dans une risible tentative d'affirmer qu'un fer-né a un orgueil démesuré. Cela faisait parti du plan. De quoi l'encourager à réfléchir à deux fois avant de faire bouger sa langue. Salfalaise laissa une lampée de vin glisser dans son gosier sans prendre le temps de même l'apprécier.

 
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**L’inconnu semble surpris de ma réponse, mais ne se laisse pas déstabiliser pour autant. Il devait s’attendre à une réaction apeurée d’une lady trop curieuse mais pas bien téméraire. Habituellement, je ne l’étais pas moi même, téméraire. Mais ce soir, peut être était-ce l’ambiance générale, le plaisir de quitter l’enceinte du château de Kayce, le fait de rencontrer de nouvelles personnes ou juste les trois verres de vin que j’avais bu, mais je me laissais un peu plus aller à mon caractère initial. Pas celui de la douce, calme, docile et sage lady. Celle, un peu plus malicieuse, d’une jeune femme à peine sortie de l’adolescence, encore pleine d’audace et de curiosité pour ce monde.*

« Je ne peux que l’imaginer, vous avez dû rencontrer bien du monde lors de vos voyages. »

*En une pensée, me voilà happée, prise d’une curiosité insatiable. D’ailleurs, sa réponse à sa question m’amuse, m’arrachant un petit rire léger et délicatement, comme le tintement de quelques petites clochettes de cristal. Glissant ma main devant mes lèvres, par pudeur et par habitude, je fronce un peu les sourcils, avant de répondre : *

« Dit comme cela, ce n’est pas très appétissant ! Mais allons bon, les îles de fer ne sont pas dénués de vie et de végétation, je suis sûre que vous avez de nombreux plats délicieux sur votre île natale ! Quoi que, lorsque vous êtes en mer, les choses doivent être différentes. Vivez vous uniquement de la pêche lors de vos longues navigations ? »

*Demandais-je en me penchant un peu en avant, curieuse d’en apprendre plus sur cette nouvelle façon de vivre, cette culture si différente de la notre quand bien même nous n’étions pas tant éloigné géographiquement.

Et puis, il ajoute que j’ai de la chance, et je ris à nouveau. Mais bien rapidement, je m’explique : *

« Oh je ne me moque pas de vous ! Je me félicite de ma chance ! Cela dit, j’espère que vous ne m’en voudrez pas, mais je n’ai pas bien peur ce soir. »


*Et puis, je lui tends ma main, polimment, pour le saluer, avec un grand sourire : *

« Je m’appelle Aloyse, enchantée ! »

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AN 305, LUNE 10, SEMAINE 3
Une ravissante fleur s'amusant et riant aux dires d'une mauvaise herbe. Tyldr avait un don bien à lui pour susciter la peur mais aussi parfois l'amusement et les rires. Qu'ils soient réels ou de simples moqueries le fer-né n'en avait aucune once d'ombre car après tout c'était là le jeu auquel il devait se plier en cette nuit. Aloyse, d'une maison ouestrienne dont il n'avait sans doute qu'une connaissance sommaire. Il l'imaginait d'importance au moins supérieure à la sienne si se n'est égale. Les conflits succédant et la transmission orale avait souvent parlé des ouestriens et de certaines de leurs maisons. Celle-ci ne manquait sans doute pas à l'appel.

« Essentiellement de la pêche oui, la mer est notre mère à tous sans elle nous ne serions pas. » 

Évidence à laquelle il était confronté depuis son enfance. Les quarante quatre îles de l'archipel se composaient d'une faune et d'une flore quasi-stérile. Un sol caillouteux et des pâtures pour les moutons. En dehors de ça une rare forêt subsistant encore sur Orkmont. Sans la pêche leurs chances de survie étaient quasi nulle. Alors ils étaient élevés en fer-né pillant et faisant trembler de terreur le continent. Seule la ressource minière était considérable mais, ce n'est pas le minerai qui nourrit son homme.

« Là d’où je viens le sol n'est que limaille de fer de sel et de sable. Presque rien ne pousse sur un sol aussi rocheux. Nous nous procurons ce que nous avons besoin par le commerce et les pillages. » 

Un mode de vie qui ne pouvait fonctionner autrement. Tyldr haussa un sourcil en observant la main tendue. La peau blanche, dont les ongles impeccables comparés au sien dénotaient. Que devait-il bien faire avec ? L'insulaire laissa entrevoir une forme hésitante un court moment il observa attentivement autour de lui presque perdu par ce geste auquel il n'avait vraisemblablement pas l'habitude. Furtivement il essuya sa main contre un pan de sa tenue cherchant avant tout à éviter tout contact avec les yeux de la jeune lady. Au bout de quelques instants il se décide rapidement à saisir celle-ci. Un contact doux, bien moins désagréable que la rugosité de ses propres phalanges. À dire vraie les siennes étaient calleuses tandis que celle d'Aloyse Kenning étaient fraîche et nue. Le genre de mains qui n'avaient jamais eu à faire une quelconque corvée ou même se saisir d'un glaive. Tyldr était un marin avant même d'être un seigneur et un fer-né. Cela ne duera qu'une fraction de seconde mais il se risqua à déposer un furtif baiser sur le dos de la main de la ouestrienne. C'était là bien ce que les nobles continentaux faisaient n'est-ce pas ? Il n'en était pas vraiment sûr. Pour autant il se redressa sur son siège rompant le contact entre elle et lui aussi précipitamment qu'il l'avait selon lui saisie.

« Tyldr, seigneur de Salfalaise. »  Une réponse aussi courte qu'il se rendait compte au même moment que maintenant elle connaissait son nom et le personnage devant elle qui avait prit ses aises pour piller l'assiette voisine. Erreur de débutant, l'alcool avait-il fait perdre le peu de raisonnement à cette caboche lui servant de tête ? Tyldr expira un long soupir préférant s'en remettre entre les mains du Noyé et de ce vin qui goûtait fortement le tanin lui laissant un goût amer derrière le palais.

« Ce soir je ne cherche pas à faire peur. » Le fer-né sourit dans un rire qu'il dissimulait à nouveau en abordant la coupe de vin à ses lèvres. Sa manière à lui d'opérer un balayage sur la silhouette de cette femme plus enjouée de sa compagnie qu'il ne l'aurait cru auparavant.
 
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*L’alcool libère les esprits et débride les coeurs. Mon caractère naturelle revient au galop ce soir : ce n’est plus la timorée petite infirme qui se trouve face au fer-né, c’est une jeune femme curieuse de la vie et peut être un peu trop téméraire parfois. Enfant, j’avais dû me faire violence pour réprimer ce côté de moi, on attendait d’une lady qu’elle soit sage et docile, alors c’est ainsi que j’avais été. Mais je devais l’admettre, j’aimais parfois chercher le diable. Peut être parce qu’il ne m’était jamais arrivé rien de bien grave ? Toujours est-il que, ce soir, malgré mes craintes quotidiennes, je me sens un peu plus à l’aise, suffisamment pour poser des questions à l’homme devant moi alors que je suis seule et parfaitement sans défense. Enfin, dans une pièce ainsi remplie de monde, que pouvais-je craindre si ce n’est l’humiliation ? Et de toute façon, y avait-il plus grande humiliation que d’être l’infirme rejetée par ses propres parents ?

Le Fer-né ne semble pas s’outrer de mes questions et y répond sans difficulté. Je l’écoute, des étoiles dans les yeux, patiente, à l’écoute. Je ne pourrais jamais voir les terres dont il parlait, mais moi qui aimait toujours en apprendre plus était ravie.*

« Je vois ! Je ne voulais pas me fier aux livres, ils ne font jamais honneur à ceux qui ne rentre pas dans le moule de la bienséance, mais ils n’ont pas menti alors. En tout cas, cela explique l’incroyable dextérité de votre peuple quant à la construction navale et la navigation en général ! Que j’aurais aimé grandir sur une île, entourée des embruns de la mer et d’une brise marine ! »

*Murmurais-je, comme un souhait que l’on projette ainsi. J’aimais tant la mer ! Je la trouvais belle et riche, j’étais si curieuse de tout ce qui y vivait. On raconte que, sous l’océan, on pouvait trouver des créatures aussi grande qu’un château ! Mais tiens, puisque j’avais un homme qui avait probablement passé une bonne partie de sa vie sur l’eau, peut être savait-il.*

« J’ai entendu dire qu’il y avait dans les océans des créatures plus grande qu’un arbre, aussi gigantesque que certains châteaux ! Est-ce vrai ? En avez-vous déjà vu ? »

*Demandais-je de nouveau, des étoiles dans les yeux, impatiente d’entendre sa réponse, et peut être même qu’il m’en dise un peu plus sur la mer et ce qu’il en connaissait.

Cela dit, j’en avais oublié la bienséance, et ne m’était même pas présenté. Alors je lui tends ma main en lui donnant mon prénom, seulement cela. Ce soir, peu m’importait le nom de Kenning, même si c’était grâce à lui que j’étais à cette table, pour le mariage de ma cousine. Après un instant, où j’entends le bruit caractéristique de la peau se frottant au tissu, il attrape finalement ma main et y dépose un furtif baiser, me surprenant et donnant une teinte légèrement rosée à mes joues. Je recule finalement ma main, un peu gênée. C’était clairement le signe que l’on courtise une dame, et jamais personne ne s’était montré si tendre et délicat avec moi, et ce, malgré les mains rugueuse du marin en face de moi. Après tout, ce n’était pas un petit seigneur délicat, mais un marin et un soldat. Et sans que je ne puisse l’expliquer, je préférais bien des mains rugueuse à celle douce d’un homme qui n’avait jamais rien vu ou rien fait de lui même.

Et puis, il me dit qu’il est le plus terrifiant de tous, cela m’amuse. Après tout, je n’ai pas peur, ici, ce soir. Et il me répond que c’est parce qu’il ne cherche pas cela ce soir. Je souris alors, oubliant un peu ma gêne de son baisemain, avant de murmurer : *

« Je l’espère pour vous, car sinon, ce ne serait pas efficace sur moi, en tout cas. »

*Je viens à tâtons récupérer un morceau de viande, que je pose sur du pain et viens porter à mes lèvres, avant de les essuyer du pouce et en passant la langue dessus. Et puis, je regarde à nouveau mon voisin d’en face pour lui demander : *

« Appréciez-vous la région, Monsieur ? »
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L'insatiable curiosité du genre humain
AN 305, LUNE 10, SEMAINE 3

Les livres d'histoires au sujet des fer-nés dépeignaient une réalité altérée par le regard de ceux qui tenaient la plume. Je doutais fort de la véracité dépeinte par les continentaux au sujet des Îles de Fer. M'enfin... Il y avait plus important à faire que de se soucier de son image après tout les actes parlaient d'eux même.

« Il y a un certain confort dans le vide de l'océan. Pas de passé, pas d'avenir. C'est un sentiment de liberté que les continentaux on du mal à saisir. »

La remarque faisait souvent écho à cette sensation de plénitude, de vivre, un sentiment apportant son lot d'émotions qui parfois ne peuvent même pas être expliqués. La curiosité était toujours bonne à assouvir et Tyldr se plaisait au moins à converser sur ce sujet. Pour autant face à la ouetrienne il pouvait se permettre quelques fantaisies.

« C'est une vérité vraie ! Les profondeurs regorgent de créatures terrifiantes. La mer est aussi impétueuse que dangereuse, peuplée de krakens, de dragons de mer et même de léviathans. Le peu d'hommes croisant leur route finissent dans les limbes du Noyé à coup sûr ! Pourtant j'ai bien cru un jour que mon heure avait sonné quand une gigantesque baleine avait taper la coque de mon navire. »

Il y avait toujours un fond de vérité dans ce que le fer-né déblatérait et à l'intonation de sa voix les récits ressemblaient souvent à ceux qu'on pouvaient entendre dans les tavernes les plus inhospitalières du monde auprès de marins et de pirates à la voix roque et graveleuse. Au contraire des bienséants mirliflore Tyldr lui ne s'encombrait pas à paraître autrement qu'il n'était, un dévot fils du Noyé capable du meilleur comme du pire pour assouvir ses desseins. La vie d'insulaire et surtout de fer-né l'avait porté sur des contrées encore parfois méconnue et même lui en connaissance de cause savait qu'il n'avait encore rien vu. Face à Aloyse cette ouestrienne qui lui offrait quelques secondes encore auparavant sa main l'abrupt fer-né s'efforçait de maintenir son équanimité. Pourtant ce qu'il pouvait percevoir du coin de l’œil face à la gêne et la poussée rose sur les joues de la lady inscrivait chez Tyldr un sentiment ineffable. Il mit un temps à reprendre le court de leur conversation si bien qu'il répondait bêtement à côté sans doute de la question qui lui était posée.

« Ma foi on y fait de charmantes rencontres. » Presque évasif sur ce qui l'intéressait vraiment dans le fond, ses yeux se risquèrent à survoler la poitrine d'Aloyse si bien qu'il en avala de travers la gorgée de vin qu'il sirotait.

 
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“Destiny is usually just around the corner. Like a thief, a hooker, or a lottery vendor. But what destiny does not do is home visits. You have to go for it.”
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**Pas de passé, pas d’avenir. Ces mots résonnent dans mon esprit, l’envahit tout entier, s’en saisit avec un désir profond de connaître ce sentiment. La mer, je l’avais vu autrefois. Depuis, je ne l’avais que fort peu navigué, mais suffisamment pour savoir que j’aimais cela. J’aimais la sensation de flotter, de se mouvoir au gré des éléments naturels, l’odeur des embruns salés, le chant des vagues qui s’écrasent sur la coque sans crainte, les craquements du bois à chaque geste des marins… La liberté qu’il évoque réveille en moi ce quelque chose que je ne saurais définir si ce n’est comme une irresprescible envie de prendre le large sans perdre un instant.

Et puis, il continue, et mes yeux aveugles brillent d’étoile en traduisant tout ce que mon esprit imaginait. Jamais je ne pourrais voir, mais la simple idée de ressentir cela ! Un frisson m’envahit alors qu’il mentionne la baleine, je me redresse, les mains contre la table, passionnée par ses mots : *

« Une baleine ! De si près ?! Je ne pensais pas qu’elles s’approchaient des navires ! Avez-vous pu voir son souffle ? Sentir son odeur, effleurer sa peau ? Comment était-ce ? »

*Je m’empresse de lui poser mille autre question, bien que j’en ai encore au moins mille autres qui me viennent en tête. A quelle distance devait on aller pour rencontrer de tels animaux ? Combien de temps fallait-il attendre ? Y avait-il des saisons plus propice ? Des lieux connus pour cela ? Quel bateau fallait-il prendre pour s’assurer de résister à une telle collision ? Cette rencontre entre lui et le géant me faisait déjà rêver, et même si je ne pouvais qu’imaginer tant son visage que le cétacé, mon esprit tournait à vive allure.

Je finis par me ressaisir, et lui demande alors poliment s’il apprécie la région. Sa réponse me surprend et me fait affreusement rougir. Me courtisait-il aussi ouvertement ? N’était-ce là que des manières de fer-nés, bien différente des nôtres ? Jamais un homme ne m’avait fait d’avance, à cause de mon infirmité, alors je n’aurais su dire si cela en était ou non. Néanmoins, le rose de mes joues traduit tout l’effet que cela me fait. Bien peu de monde appréciait ma compagnie, et avec ces quelques verres d’alcool, le caractère que je m’efforçais tant à cacher ressortait bien trop à mon goût. Nous étions loin de la discrète et silencieuse Aloyse, petite fille docile et parfaite, qui préfère qu’on la pense un peu simple d’esprit plutôt qu’on vienne lui chercher querelle. Mais qu’y pouvais-je, cet homme possédait un savoir que je rêvais d’avoir, et l’alcool m’avait désinhibé suffisamment pour que toutes ces questions ne traversent mes lèvres sans s’être attardé dans mon esprit.

Mais je suis sortie de mes songes en l’entendant s’etouffer. Je me redresse et me penche, sans avoir la moindre conscience que ce qui vient de provoquer cet étouffement vient se loger à hauteur de ses yeux, pour lui offrir une vision parfaite sur ce délicat décolleté, mis en avant par un corset en soie fine. Tandis que je viens doucement tapoter son épaule, le visage inquiet, je reprends la parole.*

« Ne vous étouffez dont pas ! Tout va bien ? »

*Demandais-je quand sa quinte de toux lui fut passée, debout devant lui, redressée, cherchant une réponse dans le noir que percevait mes yeux, mais surtout dans les sons qui me parvenait.*
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L'insatiable curiosité du genre humain
AN 305, LUNE 10, SEMAINE 3

Tyldr voit marqué son faciès d'une agréable manière. La surprise était sans doute à son avantage quand bien même il ne s'y attendait pas. Aloyse lady de la jeunesse fleurie de l'Ouest gardait une curiosité intacte et la présence de l'insulaire semblait banale. La soif de connaissance et l'intérêt qu'elle portait était inhabituelle mais appréciée. Rassasié cette avide curiosité semblait simple pour Salfalaise qui reprit son récit.

« C'est courant aux îles de fer. Ces créatures incarnent l'adversité à nos yeux. Celui qui croisa ma route ce jour-là avait perdu de vue le groupe auquel il appartient. Son souffle dépasse largement la taille de nos boutres pour une baleine adulte, la peau visqueuse quant à l'odeur elle est aussi forte qu'un amas d'algues séchant au soleil ! »

La vision aussi généreuse soit-elle apportait une houleuse réaction chez l'insulaire toussant la main devant sa bouche pour faire passer la quinte virulente. En l'observant les joues empourprées Tyldr plaça sa main au devant d'Aloyse qui s'était aussitôt levé.

«  Ne vous inquiétez pas, je me suis un peu laissé abuser par le vin. »

Tyldr étire un large sourire tandis qu'il laisse échapper un rire pour décontracter la situation qui s'était légèrement emballée. Visiblement elle n'avait pas remarqué ce qui avait causé ce léger incident. Et tant mieux ! Il manquerait plus que le fer-né termine la soirée dans les geôles des Farmans.

« Mer.. merci. C'est la première fois qu'une lady me porte secour. »

L'humour un trait de ce côté enjôleur que Salfalaise gardait rarement pour lui. Tyldr se garda bien de s'y reprendre à deux fois mais pour tout dire la ouestrienne déstabilise le fer-né par son comportement si différent de celui des autres nobliaux présents.

 
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*Combien d’heures aurais-je pu rester ainsi à écouter des histoires de cet acabit ? Oh, surement toute la nuit, si on me laissait faire. Et qui s’en préoccuperait, de toute façon ? Partout, l’alcool coulait à flot, et il n’y avait plus grand monde de sobre désormais. A vrai dire, moi non plus, je n’étais plus tout à fait sobre. Je n’étais pas complètement ivre, mais j’étais guillerette, et les quelques verres de vins que j’avais bu fonctionnait à merveille, m’aidant à me déshiniber. J’avais désormais bien du mal à cacher mon caractère plus spontané et curieux que celui que l’on attendait d’une demoiselle, celui que je montrais à quiconque m’approchait en dehors d’un cercle très limité.*

« Quel animal majestueux ! Si les dragons ont dominé les airs, ce sont sûrement les baleines qui dominent les océans ! »

*Affirmais-je, un peu enfantine dans mon raisonnement. Après tout, l’animal dominant la terre était bien loin d’être le plus grand de tous, même s’il s’agissait probablement de l’un des plus grands prédateurs du règne animal. Ce n’était pas nos crocs, nos griffes ou notre agilité, mais bien nos outils, nos inventions et nos stratégies qui nous rendaient si redoutable. Si seulement l’homme se contentait de s’attaquer aux animaux qu’il consommait… L’intelligence était parfois un cadeau empoisonné, quand on voyait tout ce que cela causait. La violence et la cruauté de l’homme atteignait un niveau rarement égalé dans le règne animal… Mais ce soir, nous sommes loin de toutes tristes pensées, et je ne suis qu’émerveille par les dires de l’homme qui me fait face. Il semble avoir vécu et vu tant de choses ! Moi qui était resté enfermé dans le même domaine une grande partie de ma vie ne pouvait guère que se montrer impressionnée !

Cela dit, après ce bref échange, le voilà qui s’étouffe. Je me redresse, mais incapable de voir, je ne perçois sa main tendue que lorsqu’elle est suffisamment proche de ma peau. Cela ne dure qu’une fraction de seconde, dans un geste réflexe, je me redresse un peu, en faisant comme si de rien n’était, gênée que mon infirmité m’ait empêché de réagir à temps devant ce geste pourtant innocent. Je m’assure dans un premier temps que tout va bien, et il m’assure que oui, alors je soupire de soulagement.

Et puis, sa remarque m’arrache un rire sincère, un peu plus long que les précédent. Là, debout face à un inconnu, je ris sincèrement pour la première fois depuis fort longtemps hors de ma fratrie, surtout dans ce genre d’événement. Je soupire pour me ressaisir et essuie une larme qui n’existe pas, suite à ce rire franc.*

« Me voilà donc grande héroïne sans avoir levée le petit doigt ! Quel triomphe, monsieur, la gloire est à moi ! »

*Affirmais-je, en prenant un faux air chevaleresque, avant de rire malicieusement en me réinstallant dans mon siège. Je soupire en me mordant la lèvre, avant de lancer un regard vers le fer-né qui me fait face, alors même que je n’ai qu’un voile noir dans mon champ de vision.*

« Veuillez m’excuser, j’ai le rire facile, je crains ne pas avoir l’habitude de boire tant de vin… Je suis d’une nature bien plus calme habituellement. »

*Avais-je dit, comme pour me justifier, essayer peut être de reprendre contenance, ou peut être aussi parce que ce qu’il pensait de moi m’interessait, et que les ouestiens préféraient largement une femme douce, calme et docile qu’une curieuse et prompte au fou rire. Ou en tout cas, c’est ce que mon père voulait me faire croire.*
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L'insatiable curiosité du genre humain
AN 305, LUNE 10, SEMAINE 3

« Baleines, dragons se sont des créatures majestueuses c'est bien vraie. Il fut un temps ou un dragon régnait aussi dans les profondeurs des mers. On la nommait Nagga elle était terrifiante capable de submerger des îles entières. »

L'insulaire se laissait prendre au jeu et l'intérêt qu'il suscitait auprès d'elle était apprécié. Qui qu'elle soit car il avait oublié même jusqu'à son nom si elle avait pu lui dire il ne s'en souvenait hélas plus. La question ne lui vint pas à l'esprit il était trop absorbé ou disons le franchement encore sous l'effet de cette toux persistante dans son esprit mais qui n'avait durée qu'une fraction de seconde. Mais se n'était pas plus le fait de s'étouffer que l'effleurement de la blanche et douce poitrine de la jeune lady. Le regard céruléen de l'insulaire s’écarquilla ravisant instinctivement sa main et dans un geste précipité se rabattre sur la table avec une certaine force. Bien que puissante, sa mâchoire se contracta au contact qui lui fit un mal de chien. Salfalaise se remit sur sa chaise implorant quiconque voulant bien l'entendre que c'était un grossier accident. Sa prière resta muette entre ses lèvres, l'hurlant douloureusement dans ce qui lui servait de crâne. Une poussée de rose avait prit aussitôt sur les joues d'Aloyse. Il n'aurait su dire si c'était à ce contact accidentel ou si c'était le fait qu'il soit incapable d'avaler correctement une simple gorgée de vin ouestrien.

Aucune remarque ne sortait de sa bouche à ce sujet là et il n'en ferait pas étalage. Il tenait à ne pas finir sa soirée dans les cachots de Belle-île ni ce soir ni jamais d'ailleurs.

« Comme vous dites.. » Frottant machinalement sa main il reprit son verre le levant pour célébrer cette amusante vérité. En revanche il ne porta pas le verre à sa bouche préférant offrir un sourire forcé aux convives à cette même table certains dévisageant le fer-né avec défiance d'autres trop ivres pour comprendre quoique se soit à ce qui venait de se passer. Les dents desserrées il tourna légèrement son poignet pour échauffer l'articulation qui avait prit un sacré coup.

« Ne vous excusez surtout pas d'être ce que vous êtes ! C'est bien plus plaisant de vous voir rire à mes calamiteuses manières d'insulaire. »

Répondit-il en riant, la douleur passant finalement, il préféra piquer d'une fourchette un morceau de viande dans le plat le mastiquant machinalement si bien qu'il ne saurait à quel moment il devait l'avaler.

« Vous êtes d'une très bonne compagnie, à votre tour, parlez moi de vous. d’où venez vous exactement dans l'Ouest ? »

 
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*Mon imagination à défaut de mes yeux fonctionnait fort bien. Ainsi, dans le noir de mon esprit, des images de baleines de de dragons marins se suivaient, pendant que je l’écoutais, pendue à ses lèvres. Légende ou réalité, peu m’importait. En réalité, qu’est-ce que cela changeait ? L’esprit humain était, à mes yeux, fascinant. Il pouvait créer de telles choses, qu’en réalité, je me fichais de savoir s’il s’agissait de ses divagation à partir de simples illusions d’optique ou de la réalité des faits. Le simple fait d’avoir cru voir quelque chose le rendait réel. Et pour moi, tout pouvait être vrai, finalement, puisque je ne pourrais jamais dire que je n’y croyais pas en ne l’ayant jamais vu.*

« Vraiment ? Elle devait être immense ! Est-ce une légende des fer-nés ? »

*Demandais-je alors, curieuse d’en apprendre plus. Après tout, Kayce était assez proches de ces îles, et pourtant, nous avions deux cultures très différentes. Les histoires que nos nourrices nous comptaient enfants étaient probablement fort différents de ceux que l’on racontait sur les Îles de Fer.

Et puis, c’est le drame. Par prévenance ou par bêtise, me voilà m’avancer, sans deviner que sa main s’est levé pour m’assurer qu’il allait bien. Ses doigts effleure ma peau, et je retombe dans mon siège, les joues rouges, gênée, priant pour que personne n’ait vu la scène. Après tout, ce n’était rien de bien grave, si ? Ce n’était pas comme si cela était intentionnel, personne n’avait rien vu, il n’avait pas cherché à attenter à ma vertu. Non, il fallait simplement faire comme si de rien n’était. Voilà pourquoi je me force à lui répondre avec entrain, reprenant le fil de la discussion avec un sourire, même s’il contente de me répondre sans plus insister.

Et puis, réalisant que mon humeur est sans doute un peu trop joyeuse pour une dame et que je me montre fort curieuse, posant peut être bien trop de question, mon éducation revient au galop et je présente mes excuses pour mon comportement un peu trop expansif.

Mais je suis surprise de ma réponse. Ne pas s’excuser d’être ce que j’étais ? C’était pourtant mon quotidien depuis près de 10 ans, m’excuser pour mon infirmité, me faire discrète, me fondre dans la masse, devenir la parfaite demoiselle, calme, docile, pas trop curieuse. Et voilà qu’un homme me dit cela ? Je suis si surprise que je reste un instant abasourdi, avant de lui sourire timidement, quand il me dit qu’il est plus plaisant de me voir rire à ses calamiteuses manières. J’avais envie de lui dire qu’au moins, lui, ne se moquait pas de moi ou ne tâchait pas de profiter de mon handicap pour m’entraîner dans des endroits ou je ne devrais pas aller ou me faire des plaisanteries de mauvais goût.

Il ajoute que je suis d’une bonne compagnie, et mes joues, qui avaient repris une couleur plus naturelles, s’empourprent de nouveau. Je tente de cacher ma gêne en lui répondant alors à mon tour.*

« Vous êtes trop aimable. Je viens de Kayce, mon père dirige ce domaine, je n’ai pas grand chose de fort intéressant à vous raconter. Je suis ici car Megalis est ma cousine direct, avec mes parents, mes frères et ma petite soeur. Je suis l’aînée de la famille… Je n’ai pas vécu beaucoup d’aventure au delà de celles que je conte dans mes chansons… »

*Avais-je soupiré, un peu honteuse d’avoir si peu vécue face à un homme qui semblait déjà avoir vu tant de chose. Il n’y avait guère que ma musique qui rythmait mon quotidien, avec toutes les promesses de ma vie désormais inaccessible à l’infirme que j’étais.*
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Aloyse - L'insatiable curiosité du genre humain [ Banquet ft. Aloyse ] Empty Re: L'insatiable curiosité du genre humain [ Banquet ft. Aloyse ]

Message par Tyldr Salfalaise Dim 27 Aoû - 17:33

L'insatiable curiosité du genre humain
AN 305, LUNE 10, SEMAINE 3

« Une légende ? Les quarante quatre piliers sur Grand Wyk sont les derniers vestiges fossilisés de sa carcasse. Je crois autant à son existence qu'il y avait encore peu des dragons dans le ciel.  »

Les mythes et les légendes sont souvent des histoires que l'on raconte oralement pour effrayer ou faire rêver les enfants. Pour autant il avait de ses propres yeux la targaryenne chevauchant son dragon. Il ne pouvait pas inventer pareille vision.

« Kayce... Je ne crois pas connaître suffisamment tout les bannerets de l'Ouest. »

Crissant sa barbe Salfalaise cherchait à se rappeler les quelques brides d'armoiries contre qui il aurait pu combattre. Il ne pensait pas avoir eu affaire à eux dans le passé.

« Vous êtes donc parenté aux Farman. J'ai décidément beaucoup de chance de parler avec une personne aussi charmante. »

Rétorque-t-il en riant. Décidément cet endroit regorgeait de surprises. Toutes aussi surprenantes les unes que les autres bien que Megalis Farman avait été un peu plus sèche avec lui sur son déni de voir la réalité en face. Les fer-nés resteraient des guerriers et telle la mer et les vagues indomptables libre de choisir leur destinée. Combattre au nom d'une alliance, d'une entente ne résidait qu'en l'équilibre fragile de la vie de Yara Greyjoy et la mort en était la fin peut-être suffisamment définitive pour le reste de ses congénères. Au moins Aloyse semblait plus avenante que sa cousine la Farman.

« Peut-être qu'un jour vous chanterez une chanson en mon nom.  »

Il se remplit à nouveau son verre se laissant rêvasser qu'un jour les ouestriens chanteraient sa gloire pour ses actes guerriers et sa bravoure au champ de bataille.

 
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*J’écoute, curieuse, sa réponse. J’avais un peu gaffé, mais cela me ressemblait. Si mettre les pieds dans le plat était considéré comme un sport, je serais sûrement la grande championne de Westeros.*

« J’espère ne pas vous avoir offenser. Cela dit, je n’ai jamais vu de dragons de mes propres yeux, mais on m’a rapporté ce spectacle ! »

*Affirmais-je pour essayer de détendre l’atmosphère avec un petit sourire, persuadée qu’il avait conscience de mon infirmité et que cela lui arracherait peut être un nouveau rire. L’auto-dérision n’était pas l’humour dont j’usais le plus, car en réalité, ma cécité me pesait beaucoup. Mais ce soir, l’alcool aidant, et sans plus insister, j’avais pu plaisanter. Peut être une preuve que, malgré ce que je pensais, petit à petit, mon esprit guérissait et faisait le deuil de mon sens perdu.

Il me dit ne pas connaître Kayce et c’est à moi de rire, avant de hausser les épaules.*

« Nous sommes pourtant presque voisin direct, pour ainsi dire ! Kayce se trouve à la pointe qui dépasse du continent, au sud des îles de fer. Nos armoiries sont quatre soleils, deux noirs sur fond dorés, et deux dorés sur fond noir. Peut être les avez-vous déjà croisé sans y prêter attention. »


*Affirmais-je alors, pour ne pas qu’il pense que j’étais vexée qu’il ne connaisse pas ma maison. Mon père en serait vexée, mais moi, je ne prenais pas la mouche pour si peu. Après tout, il y avait beaucoup de maison à Westeros, moi-même j’avais principalement retenu celle de l’Ouest, mais il m’en manquait très probablement sur le territoire entier. J’avais une bonne mémoire, mais pas à ce point.

Il affirme à nouveau qu’il a de la chance d’être tombé sur une personne aussi charmante et je rougis un peu à nouveau.*

« Oh, hé bien, ma tante est la mère de la mariée du jour, je n’ai pas vraiment de lien de sang avec toute la famille Farman. »

*Me contentais-je de répondre, pour ne pas m’attarder sur la seconde partie de son affirmation. Et puis, il reprend la parole une dernière fois, et je hausse les épaules avec un air amusé sur le visage.*

« Peut être, oui. Nous sommes dans le même camp, alors cela ne me paraît pas si improbable. Mais la plupart des chansons traitent des sujets d’actualité fort peu agréable, je crains que ce ne soit pas une bonne chose d’être au centre des chansons en temps de paix ! »

*Un temps de paix bien fragile, j’en avais bien conscience, mais de paix tout de même, c’était le plus important.*
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« Il n'y a rien d’offensant à une parole libérée. Vous ne pouvez pas tout savoir le monde serait bien ennuyeux sinon. »

La ouestrienne prenait autant de précaution qu'il n'en avait malgré que son mauvais caractère d'insulaire pouvait souvent apparaître visible aux yeux de tous. Face à elle il semblait plus aisé et capable de ne pas se soucier du jugement sans doute parce qu'ils ne se connaissaient pas vraiment. À l'élocution des armoiries de la famille Tyldr se tapota le front surjouant la bêtise il eut un éclair de lucidité.

« La maison Kenning évidemment. Comment ai-je pu être aussi négligeant. Nous avons... »

Il ne dévoilait pas le reste du fond de sa pensée. Il n'était pas venu ouvrir d'anciennes et ancestrales blessures. Beaucoup de ouestriens et de fer-nés se faisaient suffisamment la guerre jusqu'à maintenant pour parler des pillages et souffler un malaise entre eux deux.

« Nous avons une maison portant le même nom que le votre sur l'île d'Harloi pour être exact. »

Un nom similaire mais qui dépeignait certainement deux ambiances bien différentes. On lui avait parlé d'un trésor inestimable sur les Kenning une corne agrémenté d'or mais il n'en connaissait pas plus. Il s'approcha pour parler plus furtivement sentant par la même occasion le parfum à l'odeur suave sur sa peau similaire à celui qu'il avait pu sentir en offrant le furtif baise main.

« Vous êtes la première ouestrienne à bien vouloir l'admettre... Entre nous cela arracherait assurément la gorge à bien de ces invités de donner du crédit à cette alliance. Les vieilles rancunes ont la dent dure et je ne peux les blâmer il en est de même pour nous autres.  »

Le vent de l'hostilité n'était jamais bien loin. Tapis dans le brouillard de guerre qui était prêt à resurgir n'importe ou et n'importe quand.

« Les bardes doivent bien s'adapter à l'air du temps. Ils auront bientôt de quoi écrire et chanter suffisamment pour des décennies »

Il ponctuait cela comme l'amorce d'une nouvelle décennie de conflits. Car oui un fer-né s'encroûte faute de combat mais nous savions tous ici que les fer-nés ne s'alliaient jamais sans raison d'avoir l'opportunité et la chance de combattre. Personne n'était naïf sur cette éventualité pas même cet handicapé dans sur son trône en bois.

 
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