[Darry] L'homme qui se faisait appeler le Serpent
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Je sifflai légèrement en voyant Gawin se confier à nous. Enfin de compte, il n’y avait pas besoin de tromper lorsque l’on mettait sur la table l’équivalent de dix ans de solde. Je l’écoutai avec attention avant de revenir porter mon regard sur le maitre des lieux. Caressant mon menton, je pris quelques instant avant de lui répondre.
-Si nous passons, le mur, c’est la victoire. Nous leur serons supérieur et même s’ils s’enferment dans le donjon, il ne nous faudra pas longtemps pour forcer la porte.
Je marquai une pause tout en réfléchissant à nouveau. La malédiction de Harrenhal… Des démons vivaient ici et…
-Il y a deux choses : en premier lieu, l’intendant des Darry, Bedrir, sera sans doute là demain pour récupérer votre corps. Ca m’étonnerait qu’un mec comme lui se déplace sans escorte. Laissons le venir, il y aura moins de force dans le château encore. Laissons dix hommes pour tenir les lieux et lorsqu’il sera là, ils l'abattront avec son escorte.
Je posai ma main sur la table avant de sourire un peu plus.
-Ensuite, partons dès maintenant. Il nous faudra trois jours pour arriver là bas, deux si nous faisons vite. Je connais ses bois, je peux vous guider à travers la forêt, nous ne serons pas vu et mes hommes abattront toute patrouille en chemin. Je propose que les hommes de Gawin...
Les hommes de Gawin… C’était un bon moyen de finir de m’attacher sa loyauté. Il n’était pas qu’un simple merdeux surveillant une porte. Ici, il était responsable de sa propre unité. L’argent et le pouvoir… Certes il pouvait revenir vers son seigneur mais il était préférable d’être un prince parmi les gueux qu’un simple servant parmi les seigneurs.
-…Pénètre la brèche et ouvrent les portes de l’enceinte. Là, nous foncerons sur eux vêtu de haillon noir, tel les spectres de Harrenhal venus moissonner la terre des Darry. Il doit bien rester du tissu pourrit dans ces murs.
Moissonner… Ca m’inspire.
-Ils seront pris de terreur… Et nous, nous aurons le château. Il ne nous faudra pas bien longtemps pour piller et repartir avec les richesses.
-Si nous passons, le mur, c’est la victoire. Nous leur serons supérieur et même s’ils s’enferment dans le donjon, il ne nous faudra pas longtemps pour forcer la porte.
Je marquai une pause tout en réfléchissant à nouveau. La malédiction de Harrenhal… Des démons vivaient ici et…
-Il y a deux choses : en premier lieu, l’intendant des Darry, Bedrir, sera sans doute là demain pour récupérer votre corps. Ca m’étonnerait qu’un mec comme lui se déplace sans escorte. Laissons le venir, il y aura moins de force dans le château encore. Laissons dix hommes pour tenir les lieux et lorsqu’il sera là, ils l'abattront avec son escorte.
Je posai ma main sur la table avant de sourire un peu plus.
-Ensuite, partons dès maintenant. Il nous faudra trois jours pour arriver là bas, deux si nous faisons vite. Je connais ses bois, je peux vous guider à travers la forêt, nous ne serons pas vu et mes hommes abattront toute patrouille en chemin. Je propose que les hommes de Gawin...
Les hommes de Gawin… C’était un bon moyen de finir de m’attacher sa loyauté. Il n’était pas qu’un simple merdeux surveillant une porte. Ici, il était responsable de sa propre unité. L’argent et le pouvoir… Certes il pouvait revenir vers son seigneur mais il était préférable d’être un prince parmi les gueux qu’un simple servant parmi les seigneurs.
-…Pénètre la brèche et ouvrent les portes de l’enceinte. Là, nous foncerons sur eux vêtu de haillon noir, tel les spectres de Harrenhal venus moissonner la terre des Darry. Il doit bien rester du tissu pourrit dans ces murs.
Moissonner… Ca m’inspire.
-Ils seront pris de terreur… Et nous, nous aurons le château. Il ne nous faudra pas bien longtemps pour piller et repartir avec les richesses.
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Aenar
Le Serpent
Valarr Hill
En route pour Harrenhal
Valarr esquissa un sourire face au Serpent. Mine de rien ils en avaient dans le froc lui et cet archer. Il ne refusait pas l'opportunité d'obtenir des denrées supplémentaires pour entretenir sa troupe et le plan était réaliste avec les informations qu'il venait d'entendre de la bouche du gamin.
— Bien, dans ce cas ne perdons pas d'avantage notre temps ici. Je vais donner l'ordre à mes gars de se procurer le nécessaire et nous serons en route en un rien de temps.
Valarr se releva sifflant un de ses hommes pour lui donner la marche à suivre sur ce qui devait être un plan facile et rapide. Il laissait à Harrenhal aux mains de son bras droit la dizaine d'hommes suffisant pour trousser l'intendant de Darry et les faire couiner comme des gorets. Il ne leur avait pas fallut plus d'une heure pour préparer le reste de sa bande et les Traques Sang déjà avide par la promesse d'un pillage facile et rapide se mettaient en route avec à son côté le chef Serpent.
Le voyage fut agrémenté du comportement grisant des hommes bien que conscient de la dangerosité de l'entreprise l'appât du gain était plus fort. Gawin était acquit à la cause bien que grommelant sur le comportement des individus qui c'étaient joint à eux ils réussissent à se frayer un chemin avec Aenar jusqu'aux abords de Darry. Sous le couvert des bois et de la forêt environnante la troupe autour d'Aenar et Valarr se positionnait. Les hommes revêtaient les haillons participant à cet effet horrifique qu'ils comptaient utiliser à leur avantage.
Gawin expliqua sans mal la situation aux autres recrues de Darry qui n'avait pas rechigner face aux arguments d'Aenar pour le suivre jusqu'ici. Ils allaient le faire parce que Gawin restait convainquant mais l’appréhension du combat face à la soldatesque du fort se faisait lentement ressentir. Sa trottait dans l'esprit du jeune chasseur qui se trouvait à nouveau en première ligne comme lui avait si justement rappelé Aenar. La gorge nouée il avança ses propos.
— Si les portes ne s'ouvrent pas, il vous faudra passer la brèche. Il n'y a plus qu'à comme on dit...
La nuit tomba sur Darry et déjà l'ambiance nocturne participait à faire naître une certaine tension dans le regards des hommes.
— Bien, dans ce cas ne perdons pas d'avantage notre temps ici. Je vais donner l'ordre à mes gars de se procurer le nécessaire et nous serons en route en un rien de temps.
Valarr se releva sifflant un de ses hommes pour lui donner la marche à suivre sur ce qui devait être un plan facile et rapide. Il laissait à Harrenhal aux mains de son bras droit la dizaine d'hommes suffisant pour trousser l'intendant de Darry et les faire couiner comme des gorets. Il ne leur avait pas fallut plus d'une heure pour préparer le reste de sa bande et les Traques Sang déjà avide par la promesse d'un pillage facile et rapide se mettaient en route avec à son côté le chef Serpent.
Le voyage fut agrémenté du comportement grisant des hommes bien que conscient de la dangerosité de l'entreprise l'appât du gain était plus fort. Gawin était acquit à la cause bien que grommelant sur le comportement des individus qui c'étaient joint à eux ils réussissent à se frayer un chemin avec Aenar jusqu'aux abords de Darry. Sous le couvert des bois et de la forêt environnante la troupe autour d'Aenar et Valarr se positionnait. Les hommes revêtaient les haillons participant à cet effet horrifique qu'ils comptaient utiliser à leur avantage.
Gawin expliqua sans mal la situation aux autres recrues de Darry qui n'avait pas rechigner face aux arguments d'Aenar pour le suivre jusqu'ici. Ils allaient le faire parce que Gawin restait convainquant mais l’appréhension du combat face à la soldatesque du fort se faisait lentement ressentir. Sa trottait dans l'esprit du jeune chasseur qui se trouvait à nouveau en première ligne comme lui avait si justement rappelé Aenar. La gorge nouée il avança ses propos.
— Si les portes ne s'ouvrent pas, il vous faudra passer la brèche. Il n'y a plus qu'à comme on dit...
La nuit tomba sur Darry et déjà l'ambiance nocturne participait à faire naître une certaine tension dans le regards des hommes.
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Les Sept
Maître du Jeu
Mon regard se posa sur les hommes autour de moi. Ces hommes s’étaient transformés en l’espace de quelques secondes en damnés. Sur leur armure de bric et de broc se trouvaient à présent une toile sombre. Ils étaient le bras armés, les maudits de Harrenhal.
Ils avaient été décidé en amont de former deux groupes disctints dans le cas ou les portes n’étaient pas ouvertes à temps. Le premier devait pénétré la brèche et lutter dans la cour tandis que le reste devait escalader le mur au moyen de grappin pour user d’arbalètes.
Nous étions là, à attendre lorsqu’un cor résonna dans le château. Et merde…
L’alerte était donné et je sentis l’espace d’un instant l’hésitation chez les hommes. Nous ne pouvions toutefois plus reculé. S’il n’y avait pas victoire ce soir, s’en était fini des Traques Sang et de ma bande. Les vauriens ne suivaient que les gagnants.
Tirant ma lame de son fourreau, j’avançai en premier pour donner le ton. Valarr et une partie de ses hommes allaient escalader le mur. Quant à moi, j’allais conduire le gros des hommes dans la mêlée.
Je passai en premier la brèche, avançant en chancelant tout en marmonant quelque chose d’incompréhensible pour renforcer cette image d’apparition.
-Schah...Schah….Schah…
Les hommes qui me suivirent firent de même tout en faisant cogner leur arme contre leur bouclier.
Le chaos vint lorsque les hommes de la garnison nous remarquèrent.
Eteindre, Eteindre toute forme de réflexion… Il fallait laisser tomber toute forme de réflexion pour se concentrer uniquement sur l’essentiel : la survie.
Mon fer croisa celui d’un soldat que je maitrisai rapidement avant d’empoigner. Nous n’étions plus des hommes, seulement des damnés…
Je me souvins avoir plonger mon visage dans le cou du malheureux et de l’avoir mordu comme une bête, tirant et tirant sur sa chair pour tenter d’arracher sa jugulaire avant de voir une giclée de sang recouvrir ma capuche.
Je laissai tomber le malheureux et continuer le combat. Les Traques Sang semblaient, malgré les apparence avancer en formation, jouant de leur expérience passait.
Ils avaient été décidé en amont de former deux groupes disctints dans le cas ou les portes n’étaient pas ouvertes à temps. Le premier devait pénétré la brèche et lutter dans la cour tandis que le reste devait escalader le mur au moyen de grappin pour user d’arbalètes.
Nous étions là, à attendre lorsqu’un cor résonna dans le château. Et merde…
L’alerte était donné et je sentis l’espace d’un instant l’hésitation chez les hommes. Nous ne pouvions toutefois plus reculé. S’il n’y avait pas victoire ce soir, s’en était fini des Traques Sang et de ma bande. Les vauriens ne suivaient que les gagnants.
Tirant ma lame de son fourreau, j’avançai en premier pour donner le ton. Valarr et une partie de ses hommes allaient escalader le mur. Quant à moi, j’allais conduire le gros des hommes dans la mêlée.
Je passai en premier la brèche, avançant en chancelant tout en marmonant quelque chose d’incompréhensible pour renforcer cette image d’apparition.
-Schah...Schah….Schah…
Les hommes qui me suivirent firent de même tout en faisant cogner leur arme contre leur bouclier.
Le chaos vint lorsque les hommes de la garnison nous remarquèrent.
Eteindre, Eteindre toute forme de réflexion… Il fallait laisser tomber toute forme de réflexion pour se concentrer uniquement sur l’essentiel : la survie.
Mon fer croisa celui d’un soldat que je maitrisai rapidement avant d’empoigner. Nous n’étions plus des hommes, seulement des damnés…
Je me souvins avoir plonger mon visage dans le cou du malheureux et de l’avoir mordu comme une bête, tirant et tirant sur sa chair pour tenter d’arracher sa jugulaire avant de voir une giclée de sang recouvrir ma capuche.
Je laissai tomber le malheureux et continuer le combat. Les Traques Sang semblaient, malgré les apparence avancer en formation, jouant de leur expérience passait.
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Aenar
Le Serpent
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Le signal était donné et Valarr et ses hommes s’exécutèrent s'élançant en contrebas du mur les grappins sifflant dans l'obscurité. Tandis que les hommes d'Aenar s'engouffraient dans la brèche avec leur chef à la tête de cet assaut. Les beuglements et les invectives fusèrent dans la cour d'enceinte de Darry. Valarr fut l'un des premiers à observer le massacre du haut du mur tandis que les carreaux d'arbalètes s'ancraient dans les corps de la soldatesque abasourdis par ce qui venait de se produire. L'effet des aillons et des spectres venant chercher des âmes à sacrifier n'eut finalement pas l'effet escompter. La garde du seigneur et sans doute lui même avaient pris conscience rapidement de quoi il s'agissait. La faute sans doute à ce gamin, Gawin qui gisait les yeux grands ouvert devant la porte sans qu'elle ne soit jamais ouverte.
Plusieurs hommes dévalèrent les escaliers finissant leur course en contrebas inanimés. La lutte fut rude mais finalement les Traques sang et ceux du Serpent prirent rapidement le dessus. Les torches et les braseros dépeignant sur les murs l'ombre des combats et de cette sinistre nuit. Au petit matin c'est recouvert du sang de leurs proies que les mercenaires et la troupe d'Aenar se regroupèrent pour compter leurs morts et leurs blessés.
Alignés et à genou dans un mélange de sang et de boue Valarr faisait l'état de plusieurs dizaines de prisonniers et du seigneur Lyman Darry. Ses hommes se joignant à ceux d'Aenar pour piller le fort et récupérer ce qu'ils pouvaient au sein du fief.
— Le gamin avait raison, c'était plus facile qu'il n'y paraît dommage qu'il ne soit plus là pour le voir.
Le chevalier se frottait les mains en apercevant les vivres et sacs de grains ainsi que plusieurs tonnelets de vin.
— Que faisons nous de celui là ? Le seigneur du château a bien moins fière allure maintenant qu'il est vautré dans la merde avec les autres.
Des ricanements se firent entendre alors que Valarr laissait entrevoir un sourire malingre ses mains recouverte du sang ferreux contre ses hanches.
Plusieurs hommes dévalèrent les escaliers finissant leur course en contrebas inanimés. La lutte fut rude mais finalement les Traques sang et ceux du Serpent prirent rapidement le dessus. Les torches et les braseros dépeignant sur les murs l'ombre des combats et de cette sinistre nuit. Au petit matin c'est recouvert du sang de leurs proies que les mercenaires et la troupe d'Aenar se regroupèrent pour compter leurs morts et leurs blessés.
Alignés et à genou dans un mélange de sang et de boue Valarr faisait l'état de plusieurs dizaines de prisonniers et du seigneur Lyman Darry. Ses hommes se joignant à ceux d'Aenar pour piller le fort et récupérer ce qu'ils pouvaient au sein du fief.
— Le gamin avait raison, c'était plus facile qu'il n'y paraît dommage qu'il ne soit plus là pour le voir.
Le chevalier se frottait les mains en apercevant les vivres et sacs de grains ainsi que plusieurs tonnelets de vin.
— Que faisons nous de celui là ? Le seigneur du château a bien moins fière allure maintenant qu'il est vautré dans la merde avec les autres.
Des ricanements se firent entendre alors que Valarr laissait entrevoir un sourire malingre ses mains recouverte du sang ferreux contre ses hanches.
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Les Sept
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Le combat avait été rude. Durant une bonne partie de la nuit, la garnison nous avait tenu tête mais lorsque Valarr s’était rendu maitre du mur, cela avait été une boucherie. Les premières lueurs de l’aube se manifestaient dans le ciel tandis que le pillage suivait son cour. On avait déjà commencé à rassembler des vivres dans la cour et les hommes allaient et venaient, apportant toujours plus de butin ainsi que les animaux présent dans le château.
Le seigneur Lyman était là, à genoux et attaché, le reste de ses hommes non loin de lui. Mon regard s’attarda sur ce bon Cyrus qui allait et venait, donnant les directives aux hommes. Je lui fis signe d’approcher avant de lui demander de chercher d’éventuels passages dérobés dans le château. Il était bon de connaître les entrées secrètes si je devais à nouveau reprendre cette place. Il hocha la tête et alla mener de sa nouvelle mission.
Mon attention se reporta sur le capitaine des Traques Sangs qui fanfaronnait comme çi tout cela lui appartenait. Si je le laissai repartir avec le butin, il irait se terrer dans son trou avant de se retrouver comme un con, d’ici quelques jours. Ses hommes étaient galvanisés par cette prise. Il fallait battre le fer tant qu’il était encore chaud. Aussi j’allais d’un pas décidé vers le butin et le seigneur Lyman avant d’aviser la foule.
Moissonner… Nous venions de moissonner la récolte du Darry.
-Regardez vous bordel… Vous exaltez pour un peu de vins et du pain. L’armurerie n’est pas encore forcé et nous n’avons pas encore les bijoux et l’argenterie et pourtant vous vous branlez sur de la bouffe.
Je coulais un regard au capitaine des Traques Sang avant de revenir à ses hommes et de hausser le ton.
-Voyez ce que nous avons accomplis ici avec seulement un peu d’audace et un quelques renseignements et vous voulez déjà retourner dans votre tanière pour vous goinfrer comme des porcs !?
J’imitai l’animal et son cri tout en posant mes mains sur les épaules de l’ancien maitre des lieux.
-Cette nuit nous avons prouver que nous pouvons faire plus que quelques attaques de marchandises ! Cette nuit nous avons pris un château et nous avons entre nos mains un homme valant bien huit cent dragons d’or ! Nous avons dans nos foutues mains la potentielle extection d’une lignée !
Je posais mes mains sur les joues du seigneur Lyman avant de secouer sa tête en riant. Je crois pas que ce sac à merde ait une fratie ou des enfants. Je lachai ma prise avant de m’avancer désignant certains de mes hommes, certains Traques Sangs et enfin Valarr.
-Cette nuit, les bandes du Serpent et celle des Traques Sang ont succombé à la faveur de quelque chose de bien plus grand ! Ce sont des Moissonneurs que je vois devant moi aujourd’hui ! Des Moissonneurs qui s’en vont déferler sur tous ces seigneurs et qui vont leur prendre tous !
J’écartai ensuite les bras comme si l’évidence était sous nos yeux.
-Marchons ensemble ! Moissonnons ensemble ! Si nous ne formons plus qu’une seule bande, je ferais de vous les princes des Sept Couronnes !
Le reste était entre leur mains. Mon regard se posa sur Valarr dans un sourire carnassier. Peu importait la suite, peu importait sa décision. C’était à ses hommes de choisir leur avenir. Deux bande ridicules ou alors les fondations de quelques choses de dangereux pour les petits seigneurs...
Le seigneur Lyman était là, à genoux et attaché, le reste de ses hommes non loin de lui. Mon regard s’attarda sur ce bon Cyrus qui allait et venait, donnant les directives aux hommes. Je lui fis signe d’approcher avant de lui demander de chercher d’éventuels passages dérobés dans le château. Il était bon de connaître les entrées secrètes si je devais à nouveau reprendre cette place. Il hocha la tête et alla mener de sa nouvelle mission.
Mon attention se reporta sur le capitaine des Traques Sangs qui fanfaronnait comme çi tout cela lui appartenait. Si je le laissai repartir avec le butin, il irait se terrer dans son trou avant de se retrouver comme un con, d’ici quelques jours. Ses hommes étaient galvanisés par cette prise. Il fallait battre le fer tant qu’il était encore chaud. Aussi j’allais d’un pas décidé vers le butin et le seigneur Lyman avant d’aviser la foule.
Moissonner… Nous venions de moissonner la récolte du Darry.
-Regardez vous bordel… Vous exaltez pour un peu de vins et du pain. L’armurerie n’est pas encore forcé et nous n’avons pas encore les bijoux et l’argenterie et pourtant vous vous branlez sur de la bouffe.
Je coulais un regard au capitaine des Traques Sang avant de revenir à ses hommes et de hausser le ton.
-Voyez ce que nous avons accomplis ici avec seulement un peu d’audace et un quelques renseignements et vous voulez déjà retourner dans votre tanière pour vous goinfrer comme des porcs !?
J’imitai l’animal et son cri tout en posant mes mains sur les épaules de l’ancien maitre des lieux.
-Cette nuit nous avons prouver que nous pouvons faire plus que quelques attaques de marchandises ! Cette nuit nous avons pris un château et nous avons entre nos mains un homme valant bien huit cent dragons d’or ! Nous avons dans nos foutues mains la potentielle extection d’une lignée !
Je posais mes mains sur les joues du seigneur Lyman avant de secouer sa tête en riant. Je crois pas que ce sac à merde ait une fratie ou des enfants. Je lachai ma prise avant de m’avancer désignant certains de mes hommes, certains Traques Sangs et enfin Valarr.
-Cette nuit, les bandes du Serpent et celle des Traques Sang ont succombé à la faveur de quelque chose de bien plus grand ! Ce sont des Moissonneurs que je vois devant moi aujourd’hui ! Des Moissonneurs qui s’en vont déferler sur tous ces seigneurs et qui vont leur prendre tous !
J’écartai ensuite les bras comme si l’évidence était sous nos yeux.
-Marchons ensemble ! Moissonnons ensemble ! Si nous ne formons plus qu’une seule bande, je ferais de vous les princes des Sept Couronnes !
Le reste était entre leur mains. Mon regard se posa sur Valarr dans un sourire carnassier. Peu importait la suite, peu importait sa décision. C’était à ses hommes de choisir leur avenir. Deux bande ridicules ou alors les fondations de quelques choses de dangereux pour les petits seigneurs...
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Aenar
Le Serpent
Valarr Hill
Darry-le-Château
Valarr écoutait Aenar avec une certaine forme d'incompréhension. Il percevait facilement le genre d'homme qu'il était, ceux qui veulent faire plus, être plus ambitieux, entreprendre d'avantage du moins si il en était capable lui et ses hommes. Valarr respectait cela mais pour l'instant ce qu'ils venaient d'accomplir lui paraissait amplement suffisant.
— Je te savais pas faire des discours aussi captivant le Serpent. Tu as de l'ambition bien plus que ces riverains qui préféraient détourner les talons. Laisse les hommes profiter de l'instant présent sa ne fait de mal à personne crois en mon expérience.
Il ébouriffa les cheveux d'un de ses hommes tout joyeux et content qu'il était de pouvoir emporter les vivres et autres ressources qu'ils avaient déjà entre leurs mains pour retourner à Harrenhal cependant Aenar n'avait pas tord. Pourquoi ne pas continuer à travailler ensemble quand on pouvait voir ce qu'ils avaient ensemble pu entreprendre en deux temps trois mouvements.
— Je vais rentrer avec les Traques sang un partage équitable entre tes hommes et les miens. Je te laisse le bon plaisir de choisir ce que tu vas faire de celui là et de ses couards qui lui servaient de soldats.
Le chevalier le salua d'une main l'autre apposée contre le fourreau de son épée il devait
— Si tu as besoin de moi et de mes hommes tu n'auras cas nous demander. Si des opportunités se présentes on refera équipe ensemble. D'ici là on se déplace rarement pour rien alors choisis bien ton moment Serpent.
— Je te savais pas faire des discours aussi captivant le Serpent. Tu as de l'ambition bien plus que ces riverains qui préféraient détourner les talons. Laisse les hommes profiter de l'instant présent sa ne fait de mal à personne crois en mon expérience.
Il ébouriffa les cheveux d'un de ses hommes tout joyeux et content qu'il était de pouvoir emporter les vivres et autres ressources qu'ils avaient déjà entre leurs mains pour retourner à Harrenhal cependant Aenar n'avait pas tord. Pourquoi ne pas continuer à travailler ensemble quand on pouvait voir ce qu'ils avaient ensemble pu entreprendre en deux temps trois mouvements.
— Je vais rentrer avec les Traques sang un partage équitable entre tes hommes et les miens. Je te laisse le bon plaisir de choisir ce que tu vas faire de celui là et de ses couards qui lui servaient de soldats.
Le chevalier le salua d'une main l'autre apposée contre le fourreau de son épée il devait
— Si tu as besoin de moi et de mes hommes tu n'auras cas nous demander. Si des opportunités se présentes on refera équipe ensemble. D'ici là on se déplace rarement pour rien alors choisis bien ton moment Serpent.
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Les Sept
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Mon regard alla sur les hommes présents dans la cour. Effectivement, il n’y avait que des animaux ici. Des animaux qui allaient retournés dans leur trou. Enfin, si une armée devait se levé pour demander réparation, elle irait frapper à la porte de Harrenhal ce qui me laisserait le soin de quitter la région en paix.
Mais tous de même, le potentiel de ces bougres étaient gâchés entre les mains de ce ruffian. Je lui rendu son signe de la main tout en effleurant également le manche de ma lame.
-Et vous ferez quoi lorsque un ost se lèvera pour vous chasser des ruines ? Enfin, j’imagine que tu as déjà la solution à ce problème, Hill.
Mes épaules se haussèrent légèrement. Une vie qui stagne était voué à disparaître. S’ils restaient à Harrenhal, ils devaient se rendre maitre des environs, dans le cas contraire c’était la mort ou l’érrance.
Je laissais cette discussion en suspens. Une partie de ses hommes voyaient encore en lui l’artisan de cette victoire. Le défier maintenant reviendrait à ruiner tous projet fédérateur. Mais j’aurais mon moment…
Mon regard se reporta sur le seigneur Lyman, avançant vers lui d’un pas décidé. Fléchissant les jambes pour me mettre à son niveau. Je n’aurais pas aimé être à sa place. Naitre grand et finir dans la boue, devant un simple vaurien.
-Je vais être franc avec vous monseigneur… Je l’ai un peu mal pris que vous m’envoyez votre intendant. J’aurais cru que vous seriez venu en personne pour discuter avec moi. Vous savez que même les Hightower m’envoient leur parent lorsqu’ils veulent m’engager ?
Je me penchai vers lui, murmurant à son oreille.
-Croyez le ou non mais Aelinor Hightower a des yeux qui transpirent le cul. Une boucherie en devenir.
Je soufflais tout en fronçant les sourcils et en secouant la tête. A bien des égards, j’aurai pu passé pour une bête en rute. Mes deux mains se posèrent à nouveau sur la tête du seigneur que je secouais.
-Maintenant Lyman, il va falloir que tu sois avec moi et que tu réfléchisses très exactement au prochain mot que tu vas prononcer. Car à l’heure actuelle, j’hésite entre te laisser filer dignement, te décapiter et fourrer ta tête avec ma queue, ou te laisser partir mais avec un bout en moins…
Je mimais des ciseaux avec mes doigts devant son visage.
-Parait que t’as pas encore de gamin et c’est tendu de voir sa maison s’éteindre car on a plus ce qu’il faut… Donc Lyman, mes questions sont les suivantes : Qu’est ce que tu peux m’offrir ? Et quelles sont les garanties ?
Peu importait son choix à vrai dire, j’en sortirai gagnant quoiqu’il pouvait arriver.
Mais tous de même, le potentiel de ces bougres étaient gâchés entre les mains de ce ruffian. Je lui rendu son signe de la main tout en effleurant également le manche de ma lame.
-Et vous ferez quoi lorsque un ost se lèvera pour vous chasser des ruines ? Enfin, j’imagine que tu as déjà la solution à ce problème, Hill.
Mes épaules se haussèrent légèrement. Une vie qui stagne était voué à disparaître. S’ils restaient à Harrenhal, ils devaient se rendre maitre des environs, dans le cas contraire c’était la mort ou l’érrance.
Je laissais cette discussion en suspens. Une partie de ses hommes voyaient encore en lui l’artisan de cette victoire. Le défier maintenant reviendrait à ruiner tous projet fédérateur. Mais j’aurais mon moment…
Mon regard se reporta sur le seigneur Lyman, avançant vers lui d’un pas décidé. Fléchissant les jambes pour me mettre à son niveau. Je n’aurais pas aimé être à sa place. Naitre grand et finir dans la boue, devant un simple vaurien.
-Je vais être franc avec vous monseigneur… Je l’ai un peu mal pris que vous m’envoyez votre intendant. J’aurais cru que vous seriez venu en personne pour discuter avec moi. Vous savez que même les Hightower m’envoient leur parent lorsqu’ils veulent m’engager ?
Je me penchai vers lui, murmurant à son oreille.
-Croyez le ou non mais Aelinor Hightower a des yeux qui transpirent le cul. Une boucherie en devenir.
Je soufflais tout en fronçant les sourcils et en secouant la tête. A bien des égards, j’aurai pu passé pour une bête en rute. Mes deux mains se posèrent à nouveau sur la tête du seigneur que je secouais.
-Maintenant Lyman, il va falloir que tu sois avec moi et que tu réfléchisses très exactement au prochain mot que tu vas prononcer. Car à l’heure actuelle, j’hésite entre te laisser filer dignement, te décapiter et fourrer ta tête avec ma queue, ou te laisser partir mais avec un bout en moins…
Je mimais des ciseaux avec mes doigts devant son visage.
-Parait que t’as pas encore de gamin et c’est tendu de voir sa maison s’éteindre car on a plus ce qu’il faut… Donc Lyman, mes questions sont les suivantes : Qu’est ce que tu peux m’offrir ? Et quelles sont les garanties ?
Peu importait son choix à vrai dire, j’en sortirai gagnant quoiqu’il pouvait arriver.
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Lyman Darry
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Mains ligotés, genoux au sol, le visage tuméfié par la violence du combat durant la nuit Lyman écoutait les sales rats qui venaient de lui ravir son fief et ses biens. Encore sonné et dans une confusion certaine le seigneur de Darry ne trouvait aucune réponse dans ce qui avait été cette nuit une calamiteuse débâcle. Comment en était-il arrivé là ? Pourquoi ? Qu'est ce qui poussait ces hommes à agir de la sorte ? Le monde avait bien changé... Il ne restait rien de l'honneur ici bas rien que des cadavres gisant au pieds de ces affamés. L'infâme se justifia de la parole trahis à Bedrir son intendant dont seul les Sept savait bien ou il pouvait être désormais.
— Vous n'êtes que des chiens...
Son regard jusqu'alors baissé se releva lentement pour croiser les yeux de son interlocuteur. Un sale couard sans honneur ni fierté. Un coupe-jarret qui n'avait aucune marque d'estime ni d'amour propre si bien qu'il se vantait d'avoir été le plus opportuniste des deux soudards.
— Vous n'obtiendrez rien de moi, je préfère mourir avec ma fierté et mon honneur plutôt que d'écouter cette merde sortir de votre bouche !
Le seigneur Darry cracha au sol un mélange de salive et de sang alors que ses yeux injectés de sang défiait Aenar de tout son être. La rage consumait ses dernières forces et il préférait cent fois la mort qu'une vie méprisable et pleine de honte comme la sienne.
— Allez vous faire foutre chiens galeux !
— Vous n'êtes que des chiens...
Son regard jusqu'alors baissé se releva lentement pour croiser les yeux de son interlocuteur. Un sale couard sans honneur ni fierté. Un coupe-jarret qui n'avait aucune marque d'estime ni d'amour propre si bien qu'il se vantait d'avoir été le plus opportuniste des deux soudards.
— Vous n'obtiendrez rien de moi, je préfère mourir avec ma fierté et mon honneur plutôt que d'écouter cette merde sortir de votre bouche !
Le seigneur Darry cracha au sol un mélange de salive et de sang alors que ses yeux injectés de sang défiait Aenar de tout son être. La rage consumait ses dernières forces et il préférait cent fois la mort qu'une vie méprisable et pleine de honte comme la sienne.
— Allez vous faire foutre chiens galeux !
AN 305 - LUNE 11 - SEMAINE 4- JOUR 1
Faceclaim : sept visages indiscernables
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Les Sept
Maître du Jeu
Soupirant légèrement, je me redressai tout en l’avisant. Pourquoi on ne me prenait jamais au sérieux ? Ca devait être à cause de mon sourire charmeur… Ou peut être ma coupe ! Toujours est il que le bougre avait fait son choix.
-Oh tu vas mourir l’ami mais ça sera sans le moindre honneur ni fierté.
Regardant autour de moi, j’allais en direction d’une porte qui avait été défoncée. Après avoir posé le pied dessus, j’arrachai un morceau de bois faisant office d’arme contondante. Mes pas me reconduisit en direction du seigneur des lieux.
-Tu sais ce que je vais faire avec ça l’ami ? Je vais t’exploser les burnes.
Je caressai sa joue avec le morceau de bois, plantant au passage quelques échardes dans le visage de ce dernier. Agrippant mon arme de fortune à deux mains, je pris de l’élan avant d’envoyer le coup dans les parties du bougre. Il se tordis de douleur avant de tomber au sol, sur le dos.
Expirant légèrement, je venais me replacer au dessus de lui, frappant encore et encore son entrejambe avec une fougue et une rage assumée. Cette merde voulait canner, grand bien lui fasse. Ces putains de nobles avaient du mal à me prendre au sérieux. Le prochain que j’allais attraper aller réfléchir à deux fois avant de faire le malin !
Après un ultime coup, je me redressa en me recoiffant. Mon attention alla sur les soldats restant puis sur l’ancien maitre des lieux. Au vu de l’état de son machin, il allait sans doute se vider de son sang sous peu.
J’enjambai à nouveau le seigneur avant d’aller en direction de ses hommes mais une réflexion interrompit mon avancé. Au lieu de ça, je rebroussai chemin et alla envoyer à plusieurs reprise mon pied dans le visage et le ventre de Lyman.
Cette merde n’avait jamais du se faire cogner de la sorte.
-Sale petite merde ! La con de ta race ! Le cul de ta génitrice est si gros que l’on a du l’étayer pour l’enculer ! RAHHHH !!!
Jetant mon bâton plus loin, j’allais enfin en direction des soldats en soufflant et en tenant mon flanc. Ma langue sortait de temps en temps de ma bouche tandis qu’un sourire revint se poser sur mon visage.
-Oh… Je crois que je me suis fais un point de côté. Bon les gars, vous êtes treize et il n’y a seulement que huit postes à pourvoir.
Je fis signe à certains des présents de les détacher. Ces soldats allaient devoir trouver un moyen d’être huit…
Le pillage se poursuivit jusqu’à ce qu’il n’y ait plus rien à prendre. La troupe quitta ensuite les lieux aussi rapidement qu’elle était arrivée.
-Oh tu vas mourir l’ami mais ça sera sans le moindre honneur ni fierté.
Regardant autour de moi, j’allais en direction d’une porte qui avait été défoncée. Après avoir posé le pied dessus, j’arrachai un morceau de bois faisant office d’arme contondante. Mes pas me reconduisit en direction du seigneur des lieux.
-Tu sais ce que je vais faire avec ça l’ami ? Je vais t’exploser les burnes.
Je caressai sa joue avec le morceau de bois, plantant au passage quelques échardes dans le visage de ce dernier. Agrippant mon arme de fortune à deux mains, je pris de l’élan avant d’envoyer le coup dans les parties du bougre. Il se tordis de douleur avant de tomber au sol, sur le dos.
Expirant légèrement, je venais me replacer au dessus de lui, frappant encore et encore son entrejambe avec une fougue et une rage assumée. Cette merde voulait canner, grand bien lui fasse. Ces putains de nobles avaient du mal à me prendre au sérieux. Le prochain que j’allais attraper aller réfléchir à deux fois avant de faire le malin !
Après un ultime coup, je me redressa en me recoiffant. Mon attention alla sur les soldats restant puis sur l’ancien maitre des lieux. Au vu de l’état de son machin, il allait sans doute se vider de son sang sous peu.
J’enjambai à nouveau le seigneur avant d’aller en direction de ses hommes mais une réflexion interrompit mon avancé. Au lieu de ça, je rebroussai chemin et alla envoyer à plusieurs reprise mon pied dans le visage et le ventre de Lyman.
Cette merde n’avait jamais du se faire cogner de la sorte.
-Sale petite merde ! La con de ta race ! Le cul de ta génitrice est si gros que l’on a du l’étayer pour l’enculer ! RAHHHH !!!
Jetant mon bâton plus loin, j’allais enfin en direction des soldats en soufflant et en tenant mon flanc. Ma langue sortait de temps en temps de ma bouche tandis qu’un sourire revint se poser sur mon visage.
-Oh… Je crois que je me suis fais un point de côté. Bon les gars, vous êtes treize et il n’y a seulement que huit postes à pourvoir.
Je fis signe à certains des présents de les détacher. Ces soldats allaient devoir trouver un moyen d’être huit…
Le pillage se poursuivit jusqu’à ce qu’il n’y ait plus rien à prendre. La troupe quitta ensuite les lieux aussi rapidement qu’elle était arrivée.
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Aenar
Le Serpent
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